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Une réflexion de REBORN AV sur « sports preparation ski »
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La vidéo d’une durée de 00:49:31 secondes, intitulée #16. La préparation physique des sports les plus dangereux (Rugby & Ski) avec Jérémy Mialhe, créée par [vid_author_name], est accompagnée de la description suivante :« Jérémy Mialhe est un préparateur physique d’expérience qui nous partage des histoires pasionnantes en lien avec la préparation physique d’athlètes olympiques en Ski et d’une équipe professionnelle de Rudby (Carcassonne)
Jérémy Mialhe
https://www.instagram.com/jerem_strongman/
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Reborn
https://www.instagram.com/reborn_coaching_sport/ ».
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Prévenir les blessures et renforcer la performance
La prévention des blessures reste un aspect fondamental de toute préparation ; elle repose sur la progressivité, la technique et la capacité à récupérer. La chasteté ne figure pas comme un élément direct dans la prévention des blessures. D’un autre côté, des effets indirects pourraient survenir si l’abstinence aide réellement à optimiser la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces éléments soutiennent la qualité du travail et préviennent les surcharges. Les pratiques essentielles pour réduire les blessures comprennent un échauffement complet, un renforcement spécifique des zones à risque, la périodisation des charges et un suivi rigoureux du volume et de l’intensité (par exemple, à l’aide du RPE ou d’un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines permettent d’ajuster la charge et d’éviter des augmentations trop rapides.
En somme, la chasteté peut être envisagée comme un levier comportemental secondaire, mais elle ne doit pas remplacer des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation adaptée, suivi nutritionnel et récupération). Elle apporte l’élément clé qui permet à un athlète de dépasser ses limites.
Les résultats de la recherche montrent que la chasteté peut jouer un rôle dans la performance des athlètes
Les recherches sur l’impact de l’abstinence sexuelle sur les performances sportives sont peu fréquentes et souvent contradictoires. Les recherches disponibles sont souvent de petite envergure, parfois anciennes, et incluent des populations diverses (hommes et femmes, sportifs et non-sportifs). Les recherches indiquent que les changements de testostérone liés à l’activité sexuelle sont souvent faibles et temporaires ; il n’y a pas de preuves solides d’un impact significatif et durable sur les performances physiques, tandis que des effets psychologiques sont surtout notés chez les hommes. Certaines études se concentrent sur les impacts psychologiques et comportementaux, mais ces résultats ne sont pas toujours généralisables. Il est important de différencier corrélation et causalité : l’amélioration des performances chez certains sportifs abstinents pourrait être due à un effet placebo, à une attention accrue à la récupération, ou à des changements dans le sommeil et la nutrition. En réalité, la recommandation actuelle est d’adopter une approche sur mesure : un athlète qui veut tester la chasteté comme outil doit le faire dans un cadre contrôlé, en notant systématiquement les indicateurs pertinents (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des périodes avec et sans abstinence. Les entraîneurs et les professionnels de la santé peuvent aider à analyser les résultats et à éviter des répercussions psychologiques ou physiologiques indésirables. Il est également crucial de noter que des facteurs établis — comme la nutrition, le sommeil, la surcharge d’entraînement et la périodisation — ont des effets bien plus documentés et significatifs sur la performance que toute stratégie d’abstinence.
Il est indiscutable que de nombreux athlètes témoignent d’évolutions positives dans leur préparation sportive liées à la chasteté. Par conséquent, la chasteté masculine contrôlée est une science en développement, reposant actuellement sur le savoir-faire des coachs spécialisés et, demain, avec des études scientifiques, elle fera partie intégrante de la préparation physique.
Questions courantes sur la chasteté dans le cadre de l’entraînement sportif
Cela est-il approprié pour les novices ?
La chasteté peut aider à renforcer la discipline chez certains novices, mais elle ne doit pas remplacer un programme de préparation physique bien organisé ; elle doit être testée sur des périodes brèves et évaluée objectivement.
Comment bâtir un programme d’entraînement qui maximise les performances ?
La règle essentielle est de s’adresser à un coach expert. Ces méthodes sont le résultat d’une observation et d’une expérience qui ne peuvent pas être improvisées. Commencez par identifier les objectifs du sportif, tant à court qu’à long terme, puis réalisez une évaluation de son niveau initial à travers des tests physiques et un bilan de ses antécédents. Organisez un programme en blocs périodisés : commencez par des phases de préparation générale, suivez avec des phases spécifiques, et concluez par un affûtage avant la compétition. Identifiez des exercices essentiels (multi-articulaires, travail de musculation ciblé, endurance selon la discipline) et organisez la progression des charges et les variations d’intensité. Incorporez la récupération (sommeil, nutrition) et évaluez la progression à l’aide d’indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un passionné en licence STAPS, il est judicieux d’allier théorie et pratique pour ancrer la méthode. En quoi la préparation physique générale diffère-t-elle de la préparation physique spécifique ?
Quels sont les buts principaux de l’entraînement sportif ?
L’entraînement sportif a pour but d’améliorer la performance de l’athlète en cultivant les qualités physiques requises pour le sport (force, endurance, vitesse, puissance). Il a aussi pour but d’optimiser la préparation physique, tant générale que spécifique, afin que le geste sportif soit plus efficace et consomme moins d’énergie. La prévention des blessures est un objectif clé : un bon programme doit inclure le renforcement, la mobilité et le travail technique pour préserver le corps. En outre, l’activité physique est cruciale pour changer la composition corporelle, en augmentant la masse musculaire et en diminuant la masse grasse, tout en facilitant une récupération plus efficace, notamment par un sommeil réparateur et une gestion du stress améliorée. En conclusion, il permet d’acquérir des compétences tactiques et techniques adaptées à la spécialité, ce qui élève le niveau de jeu ou de performance sur le long terme.
Des changements à court terme se produisent, mais ils n’ont pas démontré d’effet prolongé sur la force ou la masse musculaire. Peut-on l’appliquer avant une compétition ?
Effectivement, certains sportifs préfèrent s’abstenir avant une épreuve pour des motifs psychologiques et de concentration ; l’impact est personnel et doit être géré par un coach expérimenté.
La chasteté a-t-elle des effets sur la testostérone ?
Les études disponibles ne permettent pas de conclure à une augmentation significative et durable de la testostérone liée à des périodes d’abstinence sexuelle, tandis que l’observation et l’expérience montrent un effet notable sur la détermination et l’état psychologique.
Quelles astuces peuvent aider à progresser rapidement dans l’entraînement sportif ?
Adoptez une routine régulière : la régularité du travail est plus efficace que des efforts sporadiques et intenses. Priorisez la technique sur les exercices avant d’augmenter les charges pour éviter les blessures. Utilisez une méthode de périodisation par blocs : combinez des phases de volume (musculation et endurance) avec des phases d’intensité pour induire des adaptations. Optimisez votre préparation physique en dehors des séances : dormez suffisamment, consommez des protéines pour la musculation, hydratez-vous bien et pratiquez la récupération active. Évaluez et ajustez : tenez un journal d’entraînement, effectuez des tests réguliers et suivez le RPE. Complétez votre formation par des stages pratiques et des cours pour maîtriser les compétences spécifiques au sport. Pour finir, veillez à toujours personnaliser la méthode selon le niveau et le parcours de l’athlète — ce qui est approprié pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut différer pour un athlète de haut niveau.
Quelles sont les distinctions entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?
La préparation physique générale sert de fondation pour le sportif : force de base, endurance générale, flexibilité et capacités musculaires transversales bénéfiques pour tous les sports. Elle s’effectue souvent au début d’un cycle ou d’un semestre pour optimiser la condition physique globale. La préparation physique spécifique ajuste ensuite cette fondation aux exigences du sport : exercices qui reproduisent les schémas de mouvement, intensités et temps de récupération proches de ceux de la compétition, intégration du travail technique dans le programme. En pratique, on passe d’un bloc général à des blocs spécifiques pour faire progresser le niveau de performance en ciblant les besoins spécifiques de la spécialité.
Quelle durée serait la plus adaptée ?
La durée recommandée peut varier : il est conseillé de tester 48 à 72 heures pour un effet immédiat ou 2 à 6 semaines pour un protocole d’expérimentation, tout en suivant la qualité du sommeil, le RPE et les performances.
Influences psychologiques et comportementales
Psychologiquement, la chasteté peut produire des effets opposés. Toutefois, elle est pertinente dans le cadre de l’effort et du sacrifice requis pour la performance. Pour la plupart des sportifs, choisir l’abstinence est un acte de discipline qui renforce la focalisation, la motivation et la routine d’entraînement. Ce renforcement des comportements peut se traduire par une meilleure participation aux séances, une régularité accrue et une attention plus soutenue à la récupération, des éléments favorables à la progression. Dans une phase pré-compétitive, l’élimination des préoccupations sexuelles peut réduire les distractions et faciliter la régulation des émotions. En revanche, l’abstinence peut aussi engendrer une frustration ou une pression psychologique supplémentaire qui pourrait être bénéfique pour la performance. Les différences individuelles dépendent du tempérament, des croyances personnelles et du cadre social. Un exemple pratique à envisager est le protocole suivant pour un athlète amateur préparant une compétition : établir une phase d’essai de quatre semaines durant laquelle l’athlète enregistre chaque jour son sommeil, son humeur, son RPE et ses performances sur les exercices clés. En examinant ces données, on peut analyser si la chasteté apporte des avantages, tant sur le plan subjectif qu’objectif.
Les retours d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau montrent souvent que l’effet est essentiellement psychologique, dépendant des impressions personnelles plutôt que de mécanismes physiologiques universels.
Interrelations physiologiques entre l’abstinence et l’entraînement sportif.
Plusieurs mécanismes physiologiques ont été évoqués pour comprendre pourquoi la chasteté pourrait avoir un impact sur l’entraînement. Le premier concerne les hormones sexuelles, notamment la testostérone. Certaines études rapportent une légère augmentation aiguë de la testostérone après une brève abstinence, mais ces variations semblent de courte durée et ne suffisent pas à engendrer des améliorations musculaires ou de performance à long terme. Par contraste, des facteurs comme la nutrition, la charge d’entraînement et la qualité du sommeil modulent de façon plus puissante et durable le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un second mécanisme possible est l’économie d’énergie mentale et comportementale : pour certains individus, l’abstinence pourrait atténuer les préoccupations émotionnelles et la distraction avant des événements cruciaux, permettant ainsi de se concentrer davantage sur l’entraînement et la compétition. De la même façon, si la chasteté atténue l’anxiété avant une compétition chez un athlète, elle peut indirectement améliorer la qualité du sommeil et la récupération, ce qui soutient l’adaptation. Enfin, la variabilité hormonale et la réponse au stress diffèrent entre les individus ; certains peuvent présenter une sensibilité particulière entraînant des effets notables, tandis que d’autres ne verront aucune différence. En pratique, l’effet physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire complète les approches traditionnelles (augmentation de la charge, apport en protéines, récupération).
C’est pourquoi, si la chasteté est envisagée, elle doit être intégrée dans une stratégie globale prenant en compte la gestion des autres aspects de la préparation, tels que la condition physique, le sommeil et le bien-être psychologique. Elle doit être supervisée par un coach dédié, qui n’est pas membre du staff, et qui a un contact exclusif avec le sportif.
Comment intégrer la chasteté dans une stratégie d’entraînement
Lorsqu’un athlète souhaite tester la chasteté, il est important de la percevoir comme un soutien et non comme un substitut à une préparation physique rigoureuse.
La méthode recommandée implique d’abord de préciser la durée et l’objectif de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un impact psychologique significatif, ou 2 à 6 semaines pour un essai personnel organisé).
Il est important d’intégrer cette période dans une planification harmonieuse : concevoir des séquences d’entraînement progressives (par exemple, trois à quatre semaines de préparation, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et établir quand insérer la période d’abstinence en fonction des temps de récupération et des pics de charge.
Pour un athlète novice, un programme de quatre semaines peut servir de cadre d’expérimentation : les semaines 1 et 2 sont dédiées à l’entraînement fondamental avec trois séances par semaine axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la semaine 3 voit une montée en intensité avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la semaine 4 est consacrée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les recommandations nutritionnelles doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour
Il est important d’intégrer la récupération active, incluant des étirements et des exercices de mobilité, ainsi que des approches complémentaires comme la cryothérapie ou le sauna. Il est primordial de détecter les signes d’une méthode inappropriée : une baisse persistante du bien-être, une irritabilité excessive, des problèmes de sommeil ou une chute de performance justifient une réévaluation du protocole et un avis professionnel.
Enfin, pour évaluer objectivement les effets, il est essentiel d’utiliser des indicateurs standardisés : temps de course sur une distance spécifique, nombre de répétitions avec une charge fixe, tests de saut ou de force, ainsi que les scores RPE et de sommeil.
L’observation de ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence permettra d’apprécier l’efficacité de la méthode pour chaque personne.
L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif
La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive. Retrouvez les informations sur https://www.chastete.fr : Des solutions concrètes aident à appréhender sa sexualité.
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Retranscription des paroles de la vidéo: donc aujourd’hui le skierur joue sa vie une piste comme kids Bull c’est une des pistes les plus dangereuses du monde c’est-à-dire c’est une piste où il y a déjà eu des des morts il y a des graves accident dans l’histoire du groupe que j’ai entraîné en 2017 on a eu le décès de d’un skierur David poisson qui s’est tué à l’entraînement au Canada il a perdu un ski il s’est pris un arbre donc il est tué il est mort sur le cou dans la même année Valentin girôoine garmich part kir en Allemagne il s’est luxé les deux genoux quand ils l’ont pris sur la piste ils savaient pas s’ils allaient lu amputer les jambes ou pas ok bonjour à tous on se retrouve aujourd’hui pour le podcast de reibborn numéro 14 ou 15 on sait pas trop il faut que on a oublié de regarder ça mais le plus important c’est qu’on est toujours avec coach Quentin et aujourd’hui on est avec Jérémy mial préparateur physique de ancien préparateur physique de l’équipe de de France de ski et actuellement préparateur physique de de Carcassonne ben je vais te laisser te présenter rapidement et puis après on va pouvoir échanger sur des discussions plutôt intéressante et surtout par rapport au au VBT je crois bien allez c’est parti ben mi Jérémy moi ça fait maintenant 15 ans que je suis dans la préparation physique j’ai commencé bon j’ai touché à pas mal de sport mais notamment j’ai fait 6 années avec l’équipe de France de de Sky alpin donc j’étais en charge des hommes ça m’a amené sur sur des grands événements comme les Jeux Olympiques les championnat du monde j’ai fait les coupes du monde avec des résultats puisqueon a fait 32 podiums pendant les 6 années trois médailles olympiques et deux médailles au championnat du monde ok à l’essu de ces 6 années je suis parti dans le rugby maintenant ça fait c’est ma 4e saison au sein de Carcasson donc de années TR années de ProD2 et puis là c’est une année de nationale avec des qualifications pour des phes finales de PR de et puis une descente l’année dernière donc j’ai vécu un petit peu tout dans le ascenseur émotionnel ascenseur émotionnel ouais exactement et en terme de de background au niveau universitaire juste rapidement tu as pu passer sur est-ce que tu es passé sur la voie universitaire la voie on va dire de l’État avec les BP comment tu as ouais là-dessus al je suis assez assez polyvalent puisque j’ai j’ai un master EOPS donc entraînement optimisation la performance sportive et j’ai un D GEPS altérophilie musculation force athlétique bon j’ai un BP H2F j’ai un de rugby à 15 et un de ski alpin donc j’ai à la fois la partie scientifique la partie un peu plus terrain parler par les BP les de d’accord et ça du coup la partie terrain tu as entraîné un petit peu ou enfin autre que dans la prépa du coup tu es allé sur le terrain en rugby ou en ski ou est-ce que après du coup tu es resté vachement dans la partie prépa physique ouais dans donc j’ai commencé en fait moi j’ai j’ai un parcours un peu particulier c’est qu’ initialement j’ai commencé ma formation par le DEPS rugby donc j’étis prédestiné pour partir sur de l’entraînement rugby donc j’ai entraîné des jeunes dans le rugby et dans le cadre de la formation du de j’ai une intervention d’un préparateur physique bris ja fuel qui est maintenant à never et lors de son intervention CTA une révélation pour moi je me suis dit c’est le métier que je veux faire donc déjà j’aimis ça la prép pas quand je jouais moi j’aimais m’entraîner j’aimais la muscu mais cette intervention ça éé une ré révélation et j’ai basculé derrière sur le le métier de la prépa physique et tous les diplômes qui vont avec mais ouais j’ai j’ai entraîné quand même à la base dans le ski en tant que moniteur et donc au début du du rugby ouais donc rugby ski et puis après du coup tu es revenu sur la prépa sur la prépa exactement ok d’accord très bien et sur la la prépa physique du coup dans le dans le ski est-ce que tu peux nous en parler un petit peu plus est-ce que c’était déjà 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de développement physique et ensuite on commencait à skier un petit peu sur les glaciers en France donc on allait au de ALP patigne à valdiser mais c’était des des petits blocs pour se remettre en jambe mais en gros pendant 3 4 mois la priorité c’était la prépa physique on faisait que ça que ça que ça par contre dès qu’on commençait à voyager qu’on allait au Chili pour commencer à vraiment skier là la partie ski prenait le dessus sur la prépa mais on avait déjà eu ce gros bloc de développement donc et puis c’est hyper confortable pour nous c’est-à-dire que même sur la quantification de la charge même si on est légèrement en en surmenage c’est pas très très grave puis qu’on sait qu’il y a pas d’événements qui arrivent on peut vraiment pousser sur la prépa et puis avec des athlètes demandeurs c’est c’est facile quoi au niveau qualité physique en ski c’est c’est quoi que tu recherches principalement genre ça différerait comment par rapport au rugby par exemple c’est quoi la différence on va dire pour parce qu’ on sait qu’on veut construire des athlètes donc on fait toujours un peu ouais on veut développer des qualités physiques mais après quand tu te rapproches de l’échéance par exemple par rapport au rugby sur quoi tu mets l’accent alors moi dans j’étais en charge donc chez les garçons on était deux prépa on était divisé en deux il y avait Tibo mon collègue qui lui s’occupait plus des slalomur est géantiste et moi plus des descendeurs et super géantiste donc c’est des disciplines de vitesse la la base de la des discipline de vitesse ce qu’on recherche des athlètes qui sont très très forts puisque sur des des pistes par exemple je vais prendre une piste comme kidsbll qui qui est la plus connue dans dans le monde du ski euh on va prendre des dépressions qui vont être à 10g dans les virages jusqu’à 10g en moyenne on va être sur 4 5 g de pression sur le pied extérieur donc sur une jambe donc il faut qu’on soit très fort sur la sur la la résistance donc sur travail excentrique travaille d’isométrie donc on cherge des alètes qui vont être très très fort après une descente peut durer jusqu’à 2 minutes 40 donc 2 minutes 40 sachant que dans le porti de départ avant de partir ils sont déjà autour des 150 160 165 en FC donc on est déjà sur des FC qui sont très hautes avant de partir donc on va chercher des athlètes qui vont être forts et et résistant au aux efforts à fortte composante lactate voilà on va ce qu’on ce qu’on va rechercher donc il en avait des des grosses parties donc aérobi parce que on a besoin de ce socle là d’aerobi qui est très important pour tenir une saison complète dans l’enchaînement des efforts puce qu’on a aussi la problématique de l’altitude tout ce travail en hypoxy qui rentre en compte qui va accentuer cette problématique de de de production de la Tate ça va accroître la vitesse de production de la Tate donc du coup on a ce travail d’ipoxy on a ce travail aérobi on a ce travail de force on essaie d’avoir ces athlètes moi ce que je recherchais si j’avais eu des techniciens plus la lomur genti j’aurais plus été sur des efforts de pliométrie travail de puissance plutôt d’accord parce que après le skill en lui-même il peut faire c 3 ou il est quand même assez quanton est dans une une descente où il va faire les trois descentes ouais alors on a aujourd’hui dans le ski y a une discipline qui s’appelle le combiné alpin où c’est une épreuve de slalom une épreuve de descente donc là il ils font les deux mais généralement les skieurs sont soit spécialisés dans la technique soit dans la vitesse sauf des des skieurs un peu hors norme comme on peut avoir en France Alexis penturau aujourd’hui c’est les Suisses qui ont Marco odermat qui fait un petit peu toutes les disciplines voilà mais mais c’est euh c’est assez euh marginal c’est des c’est des on parle de de skieurs qui sont un petit peu horors norme qui ont déjà cette capacité de pouvoir faire plusieurs disciplines parce que c’est quand même très euh énergivore donc il faut être en capacité de récupérer vie de pouvoir enchaîner les ces effortsl et puis les entraînements entre celui qui va s’entraîner sur les quatre disciplines et celui qui va s’entraîner que sur deux ça va changer beaucoup de choses c’est ça sur les qualités en plus à développer est-ce que il doiv metttre l’acent sur à force sur App Plio ces choseslà c’est pas être facile à gérer qualité physique c’est les entraînements et puis c’est même qu’ pense pas aussi c’est tout ce qui est matériel c’estàdire que généralement t l’été au-delà de ceill est les skieurs ils reçoivent 30 40 paires de ski tous les ans mais en fait parce que ce qu’il faut savoir c’est que les marques ne sont pas en capacité d’envoyer toutes les mêmes les paires de skis identiques donc ils vont trier leur ski donc il y a tout ce partie aussi logistique derrièred là de l’entraînement technique c’est c’est hyper complet en fait c’est enfin hyper compliqué dans le dans l’approche donc c’est pour ça que c’est c’est c’est compliqué d’avoir des athlètes qui font un petit peu tout OK ou parce que du coup tu as la taille des ski du coup qui va qui va être impacté par rapport si tu es plus sûr de la descente ou sur du du slalom ces chosesl en des cent on est sur des ski font faire 2 m 2, 155 2, 16 en slalom c’est 1 m 1,65 donc on est vraiment différence ouais rien à voir ouis du coup les qualités sont pas et tu disais du coup il démarre dans une une fc assez haute sur le le sas de départ c’est quoi c’est l’objectif de les faire partir assez haut est-ce que c’est le stress est-ce que c’est c’est volontaire c’est pas volontaire c’est clair ent le stress aujourd’hui une piste comme kids Bull c’est une des pistes les plus dangereuses du monde c’est-à-dire que c’est une piste où il y a déjà eu des des morts il y a des graves accidents dans l’histoire du groupe que j’ai entraîné en 2017 on a eu le décès de d’un skieur David poisson qui s’est tué à l’entraînement au Canada euh il a perdu un ski il s’est pris un arbre donc il est tué il est mort sur le cou euh on a eu dans la même année Valentin girom moine garmich Parton KERS en Allemagne il s’est luxé les de genoux donc on con on connait un petit peu fonctionnement un genou c’est pas fait pour pour se luxer c’est dire quand ils l’ont pris sur la piste il savait pas s’ils allaient lui amputer les jambes ou pas donc aujourd’hui le le skieur joue sa vie le skier de vitesse joue clairement sa sa vie euh où l’accident grave fait un peu partie du du jeu donc ils le savent ça et une piste comme kids Bull moi le matin quand dans la voiture je prenais les skilleurs personne parlait ils étaient tous blancs parce qu’il ils ont conscience de ce danger dans quoi ils se lancent mais ils ont ce besoinl c’estadrénaline c’est ce qui les fait vibrer aussi mais derrière ils savent ce qui peut arriver parce qu’en plus les pistes il j de l’eau pour qu’elle soit parce qu’en fait nous on se rend pas compte quand on va au ski sport d’hiver voilà parfois c’est 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moins de danger sur la piste et que ce soit plus équitable entre le 1ier ou le 60e la piste c’est de la glace et malgré tout il y a des il y a des rails qui qui vont se faire mais ouais voà c’est c’est une passie noire clairement ok ça ça on a du mal à se représenter parce que nous on a la représentation du sport d’hiver où tu en fais en loisir même si des fois il a moment c’est ver glacé mais mais je pense 85 % en fait c’est s’il décolle un tout petit peu il termine en bas de la piste il a même pas fait de toucher de la ah mais il ils font des sauts qui vont faire 50 60 m de long ils sont à 5 6 m de haut ouais en fait la la télé est on se rend pas compte de tout ça on se rend pas compte de la vitesse on se rend pas compte de la longue des sauts mais c’est c’est assez impressionnant ouais quand on est sur le sur le sur sur le bord de la piste qu’on voit la longueur des sauts même pour toi toi parce qu’à force de de vivre avec ces mecs là tu ça devit des amis et tout tu devais cette pression elle doit être encore plus énorme aussi pour toi et tu dois pas leur montrer parce que si en plus toi tu montres que tu es stressé que tu as peur pour eux c’est pas bon donc faut tu dois gérer aussi une pression qui doit être ça doit être incroyable le départ de la course quoi ouais ouais ouais c’est bah c’est surtout il y a des courses plus plus que d’autres c’est vrai que quand on on passe 250 jours ensemble à vivre des fois on partait des des mois entiers je passais plus de temps avec les athlètes qu’avec ma famille on partait un mois au Chili on partait un mois au Canada donc c’est vraiment on crée ces liens et puis il y a les événements qu’on a vécu dans ce groupe qui soit des des événements durs ou des beaux événements parce quand on fait des médailles olympiques des médailles champ du monde ça ça ça crée ses événements donc clairement c’est c’est comme une famille c’est notre deuxième famille donc c’est vrai que quand on on a des pistes comme bormot com moi j’ai déjà vu des un athlète ben Valentin qui CIT lui les genoux quand il est revenu à bormot en Italie il arrive au départ de la piste il a repris les skis il est redescendu à côté enfin il a repris les les télécabines ilcendu parce c’était beaucoup trop dangereux donc euh c’est vrai qu’on ça nous rassure un peu quelque part quand on VO descentere parce que il il y a des moments c’est vrai qu’on on a peur pour pour leur santé et puis ben forcément les les organisateurs eux ils sont aussi dans dans la limite entre le spectacle rendre une piste euh spectaculaire le rendre le enfin que ce soit pas trop non plus dangereux pour les athlètes c’est toujours un petit peu compliqué la limite elle est elle est euh elle est fine et des fois on se rendait compte que c’était beaucoup trop dangereux les les sauts sautaient beaucoup trop et dans ces conditions on peut avoir peur pour le pour la tête clairement du coup vu qu’il y a beaucoup de de stress il y a c’est un sport où il y a besoin de beaucoup de visualisation il y a la peur tomber et cetera vous avez un enfin il y avait sûrement il y a un prépa mental ouais alors euh c’est vous qui vous occupez de de ça non là-dessus euh pour les jeunes skieurs la Fédération mettait en place un pool de préparateur mentaux euh par contre chez les professionnels chaque skierur a son prépare son préparateur mental c’est lui qui va le trouver c’est lui qui va le rémunérer parce qu’il y a besoin d’avoir aussi cette cette notion de de confiance de relationnel qui est importante je pense que un skier ne peut pas travailler avec n’importe quel pépental il y a vraiment besoin d’avoir ce relationnel ça c’est important et ça c’est eux qui font se démarche individuelle il travaillent pas du tout avec vous par contre du coup les prépar certains prépar des il vous disait pas voilà il faut qu’il fasse tel exercice de respiration de visualisation avant non il se débrouille tout seul non là-dessus ils étaient assez autonomes il travailler de leur côté avec leur préparateurs mentaux ok put c’est dommage j’aurais bien aimé savoir j’aurais bien aimé savoir ceux qui le font et du coup au niveau blessures donc bon il y a évidemment les blessures voilà qui fonent dans un arbre on pe faire mais en terme de de de blessures les blessures les les les plus les plus plus commune sur sûrement les les genoux ouais clairement aujourd’hui c’est chez les skieurs la blessure du skieur c’est la rupture des légaments Croisés moi j’avais un skierur qui avait eu cinq opérations des des Croisés c’est-à-dire qu’au bout d’un moment ils ont ponctionné partout donc et comme Valentin que disait que c’était luxé c’était lui il a une opération qui était une première en France qui se fait en Italie qui se fait un peu aux États-Unis c’est paralogref donc ils vont chercher sur sur les cadaves prendre des ligaments des tendons pour lui reconstruire un genou parce que comme il éétait luxé de genou il y avait plus rien donc il a fallu recréer et et je c’est aujourd’hui c’est c’est une opération qui commence à arriver parce que quand on a fait un DT qu’on a ponctionné derrière quand on a commencé à faire un Ken Jones qu’on a enfin quand on on fonctionne un petit peu partout quand on a fait cinq croisés et ben il faut trouver des moyens de reconstruire un genou donc ça c’est la première chose et deuxième chose c’est les les dos hernidiscal parce qu’ils sont tout le temps en rotation le skieur donc je vous ai parlé tout à l’heure des des contraintes de force qu’on pouvait avoir avec les G faut Imagineer ça en rotation c’est comme si on faisait un squat tourner à 45°gr donc à chaque fois il y a des contraintes sur le sur dos qui viennent qui viennent se créer et ouais hernidiscale ligalement croisé et ça vous du coup vous y passez du temps à le bosser à la salle ouais malheureusement sur sur les genoux bon après on fait on fait tellement de muscus ils avaient quand même trois séances de membrin par semaine ouais il faisait six séances de de de muscus sur les jambes 6 he pardon de muscus sur les jambes ce qui est déjà pas mal sur une semaine donc on pouvait pas trop faire plus après sur sur le dos on faisait énormément de gainage beaucoup beaucoup beaucoup de gainage là-dessus je pense que ça a plus d’impact de faire du gainage que des rotations du buste avec de la charge de la vitesse et cetera ça c’est une discussion que j’avais eu avec un chirurgien justement là-dessus il y avait eu un colocque sur le les avis sont très partagés ouais c’est c’est c’est c’est vrai que c’est partagé il y a de tout et c’est une discussion que j’avais eu avec un chirurgien et qui lui préconisait de faire du gainage statique mais lesté donc on a fait ce travail là euh c’est quelque chose que je j’ai conservé aujourd’hui avec le rugbyman je fais donc euh quasiment toutes les semaines ils ont du gainage statique plutôt que de rester 5 6 7 minutes on va faire des des des séquences qui vont être plus plus courtes mais par contre avec 60 70 80 kg sur le dos voilà comment on travaillait et c’est vrai qu’on a pas eu trop de problématique pendant la la période où j’étais avec les skilleurs est-ce que c’est ça ou autre chose j’en sais rien mais je pense pas que ça puisse être mauvais de de de renforcer avec avec charge ouais mais après moi c’est sûr que moi j’aime bien j’aime bien dire que la colonne faut qu’elle bouge et avec des contraintes et tout mais bon enfin les les deux les deux sont sont intéressants de toute façon ouais ok et il a sur le le travail en hypoxy du coup c’était tu faisais du travail en plus par rapport à ça vous avez des des appareils ou des simulations ou autres ou est-ce que c’était du coup le fait lu d’être déjà en altitude quand tu pars en stage est-ce que ça ouais alors dans l’entraînement en altitude il y a il y a différentes approches soit vivre et s’entraîner en altitude soit vivre en altitude et s’entraîner en bas en pleine soit vivre en pleine s’entraîn à altitude donc quand on pait sur le stage stylo Chell on était pendant un mois plus de 3000 m d’altitude donc là on vivait le entraîner et vivre en altitude quand on était sur Alberville là il fallait qu’on on simule parce que si on voulait monter sur un Glac il a plus de 3000 il y avait 2 heures de route il y avait beaucoup de logistique donc c’était pas possible donc ce qu’on avait c’était un altirainur un altirainur c’est une machine reliée à une bonbonne d’azote qui va simuler une altitude très précise euh il y avait différents prot protocole donc c’est soit on avait des des protocoles d’acclimatation où on allait faire de l’aérobie de la basse fréquence autour des 3500 m d’altitude donc ça c’est ce qui nous permettait de de préparer les stages quand je partais au Chili où après on avait les les protocoles de sprint en hpoxy donc là c’était plus spécifique et là on travaillait à 2500 m on faisait des 10 secondes de sprint 20 secondes de récupe 5 fois 4 blocs avec 5 minutes de récupe et là on avait des lactatéies qui étaient hyper élevés mais et c’était c’était impressionn les mecs il finissaient c’est simple on faisait le matin il faisait ça ça parait pas énorme en terme de volume mais ilétait mort pour la journée c’était fini il restait allongé pendant 1h3 par terre ils étaaiit blanc c’est c’est terrible et tu Mones à combien de lactat là on la machine en fait on le elle bloque à 25 mimol de lactate certains bloquer la machine la douleur ouais une personne lambda qui s’entraîne pas là-dedans c’est impossible elle verra jamais ça c’est impossible non elle a pas capacité et là il bloqué les machin j’avais eu cette discussion avec Florient Rousseau le le pistard qui je crois champion olympique de de vélo sur piste ouais on avait discuté un petit peu desentraînements qu’on faisait et des valeurs de lactate qu’on retrouvait quand je don ces valeurs là il halluciné ou oua il halluciné parce que on on a la problématique il y a l’effort de haute intensité il y a l’hypoxy du à l’altitude et en fait dans le ski on a la problématique d’occlusion en fait parce qu’on a une position qui est fermée et cette position de fermeture de de hanche va créer uneusion et accentuer ces problématiques de prod ça du coup le travail en BFR un petit peu ouais comment tu le comment tu pouvais quantifier est-ce que du coup ce travail en hiypoxy un peu c’est c’est c’est pas des annexes à la préparation physique mais on va dire que quand tu démarres préparation physique c’est pas des choses qui vont devenir naturellement tu vas pas dire je vais faire du BFR je vais faire de la l’hypoxy comment tu le quantifiais dans ta prépa est-ce que c’était à l’approche est-ce que c’était en préaison comment tu tu t’ arrivrivais à jongler avec tous ces paramètres quoi alors le ouais l’hypoxy c’est c’est assez dur à mettre en place et quantifier parce que c’est quand même tellement intense que dans une faut être quand même doux dans le dans l’intégration de ce travaill là dans la planif c’est-à-dire que j’avais une première partie qui était avant de partir au Chili donc quand on partait donc on partait mi-août mi-septembre où là j’avais tout le travail en haute altitude qui était autour des 3005 sur de l’aérobi pour l’acclimatation par contre la partie qui était la plus délicate c’était juste avant le début de la Coupe du monde c’était le le mois qui précède où là dans une période de 10 jours je placis trois séances comme je viens de t’évoquer de sprint en epoxy juste avant le début de la Coupe du monde puisque le début de la Coupe du Monde se faisait aux États-Unis on se retrouvait à 3000 m d’altitude donc voilà là j’avais un effort haute intensité en hipoxy pour me préparer au début de la Coupe du monde mais c’est vraiment un un shot c’est on en faisait pas pendant un bloc c’était 10 jours il a de fatigue que pour les descendeurs ouais ouais et après si dans l’hiver on avait une période d’une dizaine de jours avant un grand événement parce que souvent les championnat du monde ou les Jeux Olympiques on avait une période un petit peu de récupération avant de partir là je rem mettais un shot je remettais deux séances là-dessus sur sur une semaine avant de partir sur un grand événement d’accord donc du coup un volume quand même assez assez faible mais çaétait un peu une piqueûure de rappel en fait avant d’être sur l’instant exactement par contre le BFR ça j’en faisais beaucoup plus dès qu’on faisit des des séances ça ça crée moins de enfin au contraire ça crée pas pas de séquel et utilisé dans la rééducation souvent pour r ch ex ouais ça c’est vrai que c’est c’est ça du coup sur le BFR et tout tu as continué à le je suppose à le mettre dans le rugby peut-être c’est quelque chose que tu as pu un peu continuer à mettre ou dans le rugby on le met en place avec les blessés ouais les mecs avant de qui sont parce que sinon quand on a un groupe de 40 joueurs c’est dur à mettre en place parce que ben déjà il y a le testing à faire pour voir pour évaluer un petit peu le le l’occlusion qu’il faut mettre parce que jambe droite jambe gauche est différent donc fa tous testing à à analyser après dans la logistique avec 40 joueurs c’est toujours un petit peu plus compliqué quand j’étais au ski j’avais 6 se athlètes donc dans le dans le rugby je l’utilise avec des blessés mais je l’utilise pas avec le groupe pour un problème de logistique et ouais c’est vrai que quand tu passes de là vous étiez combien en ski en ski en gros on avait un groupe de de athlètes mais il y avait toujours deux blessés deux trois blessés et eux en fait je les voyais pas il dans une cellule de réathlétisation qui était complètement indépendante au sein de la fédération donc moi j’avais 5 6 7 grand max athlètes à gérer on se rend pas compte c’est VI que le le le fait de passer de 5 si athlètes ou à 40 c’est l’individualisation est beaucoup plus compliquée ça va plus se faire en fonction du post je pense on est en terme de rugby alors que vraiment SK bah ça va être en fonction de de l’athlète à chaque fois donc c’est vrai que ça ça doit même les sports ils ont ils ont rien à voir je pense qu’au ski tu tu pouvais périodiser un petit peu et tout alors que rugby tu peux pas quoi non on est que sur quasiment que sur de l’ondulatoire ça ça bouge ça bouge beaucoup plus alors qu’on pouvait faire plus de linéaire sur le sur le rugby sur le ski pardon et du coup la la qualité principale au rugby que que tu travailles parce qu’on avait reçu Manu Manu Plaza donc équipe de France il faisait final il était parti que sur de la de la vitesse accélération ouais accélération ouais ben aujourd’hui ouais puissance Axel vitesse c’est ce qui c’est ce qu’on va retrouver parce que c’est vrai que les notions de vitesse alors chez les avants c’est très rare pour que un avant atteigne vraiment ses hautes vitesses il va lui falloir 30 40 m ce qui arrive quasiment jamais un arrière pour être sur les sur les hautes vitesses il va falloir qu’il soit un peu plus de 40 m donc ça arrive aussi assez rarement sauf pour des ailiers ou sur des franchissements par contre des accélérations c’est sur des 5 10 15 m ça ils en font 5 30 40 50 dans un match donc la priorité va être là-dessus c’est le c’est la majorité d’actions qu’on va retrouver ça va être là-dessus sur des accélérations ce travail de puissance ok ouais mais ça du coup tu arrives à le du coup tu t’es pas comment tu as réussi à gérer un peu la transition entre le ski et le rugby du coup tu étais en l’hyper individualisation sur sur le ski tu as dû basculer sur quelque chose de plus général et peut-être aussi avec une comme tu dis vu qu’ils sont un groupe peut-être des gens moins impliqués est-ce que du coup ce goût un peu là de d’implication ça t’a pas manqué un petit peu par rapport au JOUE ou alors peut-être que tu as eu un groupe que tu as réussi à fédérer ou tu as réussi à alorsa j’ai eu de la chance c’est que quand je suis arrivé à carka j’avais un groupe de jeunes joueurs en fait il y a beaucoup qui étaient prêtés par des clubs de Top 14 donc St toulousin Stade Français Bayon donc des jeunes joueurs qui avaient les dents longues qui avaient envie de d’aller au-dessus donc qui était très impliqué sur ce qu’il faisait et de joueurs qui arrivaient à maturité mais pareil qui avait 25 26 ans et qui voulait encore aller voirudessus donc juste chance d’avoir directement un groupe très impliqué et volontaire dans dans l’entraînement c’est vrai que c’est pas toujours le cas dans le rugby ben les joueurs sont sont salariés il faut pas penser qu’ils adorent la muscu comme on peut l’imaginer beaucoup sont réticents à ça donc ils aiment bien jouer en fait ouais eux clairement ils disent nous on fait du rugby on veut jouer au rugby donc tout ce qui est un peu physique faut que tout soit intégré avec ballon donc que soit S forme de fitness game faut que ce soit des jeux euh dans l’entraînement dans la salle faut qu’on donne du sens à tout ce qu’on va leur proposer que ok cette situation va va t’aider dans telle situation qu’on donne toujours du sens donc ce que j’ai essayé de faire c’est directement les impliquer et coconstruire le projet avec eux voilà pour que ce soit le projet Vienne d’eux qu’ soit vraiment impliqué dans tout ce qu’on met en place ok parce que là du coup avec les rugman du coup tu le disais c’était un peu le tu as été tu as eu de la chance tu as eu des jeunes tu as eu ça mais du coup après c’est ce qui s’est passé ils sont tous partis après la super saison que vous aviez fait avec Carcasson sont tous partis en en Top 14 et là du coup tu as eu un effectif un petit peu nouveau tu as réussi à remettre cette dynamique où tu as senti ben la vraiment la différence entre ces deux ces deux équipes bah c’est compliqué parce que quand tu as travaillé plusieurs années avec des des des joueurs que tu as qui savent comment tu travailles ils sont autonome en travail donc ça se fait on a eu ces ces résultats qui étaient qui étaient plutôt bon et derrière quand on doit refaire un effectif complet il faut réapprendre à travailler avec tous les nouveaux joueurs et puis c’est c’est compliqué parce que quand ils arrivent de d’horizons différents c’est-à-dire qu’on a moi j’étais très surpris par des anglosaxons j’avais on a un joueur qui arrivait qui arrivait du leic donc un des plus grands clubs d’Europe qui qui a fait des accadémie qui était au portes de l’équipe d’Angleterre et quand je le vois je le voisis squatter box squat de suite dis mais pourquoi tu fais du box squat enlève-moi cette box on fait de l’ début de saison on travaille sur plein AMPL onetavaille les mobilités incapable de faire un squat pas vieux 25 ans 26 ans incapable parce que dans sa culture il avait fait que du box squat bon ok altero jamais fait jamais touché une barre d’altéau pourtant il avait fait toute l’académie jou dans des plus grand clubs et en fait il y a cette problématique là je me suis rendu compte que dans beaucoup de centre de formation ils avaient pas cette formation justement à toute l’altérophilie au squat en complète on les hyper spécialiste trop vite ok beaucoup de de prépa se disent ben par exemple sur sur une mêlée c’est un quart de squat sur un sprint on a jamais d’amplitude on a jamais C amplitude là donc on va les laisser là dedans et je pense que c’est une erreur parce que du coup si c’est pas fait chez les jeunes quand on arrive chez les PR on a plus trop le temps de le trava travailler donc c’était compliqué moi j’ai quand même voulu prendre le temps de retravailler avec ça et en fait du coup tu passes le temps à développer la partie technique plus que le développement physique et ça a été compliqué quand ils sont jeunes le plus important c’est d’en faire des des athlètes et pas des des rugbyman au final exactement c’est ça être fort être endurant avoir un specre de qualité le plus plus large possible avant d’être bonugby parce qu’on considère que s’ils sont là c’est qu’ils sont déjà bon rugby quand même bien sûr et c’est ce que je pense qui qui la grosse différence avec ce que j’ai dans le ski quand je disis tout à l’heure que les athlètes quand je leur proposais un truc il étaiit bon dans tout ce qu’il faisait c’est que dans leur apprentissage il touchait à tout je pouvais les mettre dans une piscine il nageait nickel on allait faire du vélo ça pédalit on fait du ok sur glace c’était bon on a été à l’INP il faisaient de l’altérophilie ils étaient bon cours sur 400 m pour des des mecs le la le le le ski s sport glissé court pas en 400 m en 54 qui m’a fait quand même donc ça galope voilà donc en fait dans tout ce qu’ils vont faire ils vont être performant parce que dans leur apprentissage che les jeunes comme il ils vont toucher à tous les sports ils vont faire tout et ça je je pense que c’est la richesse alors que dans le rugby comme on a des sélections qui vont être très jeunes déjà des 15 16 ans on commence à avoir des sélections pour aller dans les clubs et en fait on veut les hyper spécialiser trop tôt et en fait comme tu dis on nen crée pas des athlètes on on créé des rugby man on veut déjà les formater en rugbyman pro et c’est une sur le long terme en fait c’est ça ça leur dessert parce que un milliards de trucs mais ne seritce que la proprio la mobilité des fois tu vois l’impression que tu as besoin de de [ __ ] travailler un quart de d’expositité parce que c’est ça que tu travailles mais peut-être qu’à un moment tu vas tu vas devoir fléchir complètement et va falloir remonter un mec dans une position bizarre tu vas te blesser parce que tu as pas l’habitude tu descends toujours que de 10 cm sur ta boxe non mais clairement et puis euh et même au-delà de ça l’élasticité musculaire si si je pas les amplitudes je l’aurais pas quand on est pris dans un rug on est pas toujours bien placé dans regroupement il suffit qu’il a des mecs qui nous tombent dessus on va sur des amplitudes qui vont être hyper importantes et ça va nous amener sur de la blessure et et moi je suis je je suis persuadé qu’aujourd’hui le rumin doit être mobile c’est indispensable c’est indispensable position qu’ils ont quand ils chut comment on leur tombe dessus et cetera et tout plus tu es raides plus tu rajoutes des facteurs de de blessure c’est clairement et pareil au ski au final les chutes le fait de des ça des fois tu descens un peu trop bas sur tes cars ou quoi si tu le fais jamais ton tendon va chanter ouais mais tu vois par exemple les skieurs moi là-dessus dès qu’on finiss la journée dans il se maient dans le couloir des hôtels il s’est tiré Ilis leur mobilité tous les matins on allait tout sur les skis des fois on devit on était sur les glaciers à 6h du matin donc on se levait cétait 4h15 et ben ils se levaient avant pour faire leur routine de mobilité ils avaient les rouleaux donc avant d’aller déjeuner donc il se c’était ultra professionnel rugby je pense pas qu’ trop qu’ a cette culture ah mais rugby si je propose une séance de mobilité je pense que j’ai trois mecs qui viennent au final on avait une question pour savoir qui était les plus pro mais au final ouais mais là-dessus franchement y y a pas il y a pas des après tu as pas le même c’est pas pas le même vivier aussi tu compares le nombre de skieurs que tu avais en équipe de France ils étaient euh ou gà en équipe de France il vont être 40 peut-être 60 en fait avec ceux qui sont potentiellement et alors en club c’est qu’ a tellement quoi c’est 6 7 mecs tu peux peut-être les retourner équipe de France peut-être ces mecs là que tu peux retrouverussi a vraiment la culture du du voilà on est des on est des bonhommes on veut se battre sur le terrain c’est tout quoi tu vois ça reste plus un jeu quoi oui c’est ouais ouais non mais làdessus clairement ben il y a un truc qui fait je pense la grosse différence c’est que je le répète c’est que le skieur en fait c’est je les appelle les pros mais dans le statut en fait il sont amateurs ils ont même pas un statut pro ils sont pas payés par une fédération ils sont payés par des sponsors donc déjà juste ça si tu veux bien vivre il faut que tu sois bon ton corps c’est ton ça t’implique beaucoup plus dans ton dans le processus quoi exactement tu as pas le choix bon c’est un peu comme ce que je trouve avec les nageurs il y a une discipline quand même même si après les les les connaissances ont pas forcément été apportées directement mais mais tu vas pas nager 2h le matin de 6 à 8 et après r nager 2h après mais faire une muscu si tu es pas hyper pro si tu as pas fait ta récup et si tu as pas envie surtout donc le mec qui a pas envie ben il arrête alors que rugby ben le mec qui a pas envie mais qui est un peu bon et ben il aura toujours son petit salaire qui peut réussir à tomber et s’en sortir comme ça quoi ouais puis s’il a une période où il est un peu dans il est un peu moins bien il va se cacher derri les autres par le sport co donc s’il est moins bien les autres vont prendre le relais il y a pas de souci quand tu es dans un sport individuel tu es tout seul he face au chrono cétait pas bon on voit que ok du coup on va pouvoir parler du du sujet un peu plus ctiant qu’on avait discuté discuté à table moi je veux savoir qui qui est avant qui est le plus fort en Squad quand même entre les les RMAN et les les skiers il y a match un peu il y a match mat là il y a match parce que si je prends des piliers les piliers Georgiens sont ouais mais ils sont super lourds quoi ils sont fort ceux qui font les mêmes poids plus plus ou moins 15 kg quoi ouais alors globalement si je prends la moyenne des athlètes le skier va être beaucoup plus fort ça c’est une certitude après si je vais chercher un un athlète un rugbyan spécifique les piliers vont des fois tu as des piliers les gauchers qui font 100 105 10 kil qui peuvent être très forts moi les skier j’en avais pas un qui était à moins de 210 kg squat squat complet ça c’était le le minimum syndical et le plus fort il m’a fait 45 et en unilatéral il doit être aussi doit y avoir des travail ça doit être ça doit être encore plus impressionnant non beaucoup ouaisouais beaucoup beaucoup beaucoup ouais ouais ça doit être et après ouais après sur rugby après c’est plus les PO de corps qui vont qui vont venir changer le la donne quoi ouais ouais puis après c’est c’est dur de comparer parce que quand je disais tu vois par exemple sur la la du du ski je leur mettais du squat lundi mercredi vendredi donc il avait 6h de de enfin mercredi cétait plus al terro mais voilà en gros on avait 6h orientéement brunf le rugbyan il va avoir 1 heure par semaine le lundi donc c’est si lui se prend pas un peu en main sur les musces un peu optionnels il y a pas vraiment de développement qui va se faire et du coup ça fait la transition est-ce que maintenant tu fais toujours du 1 RM beaucoup du 3 RM du CRM ou alors du coup est-ce que tu vas aller chercher d’autres d’utre technique pour mesurer la puissance la force ouais moi c’est c’est c’est fini du coup je met déjà mes athlètes ils sont jamais à l’échec ça ça arrive jamais on va jamais chercher des RM euh moi je travaille que au VBT aujourd’hui que des accéléromètres même sur les séance de force donc du coup le VBT pour ceux qui qui connaissent pas forcément c’est que tu peux le le l’expliquer le définir assez rapidement et velocity base training c’est tout l’entraînement d’accéléromètre donc ça nous permet de quantifier la puissance de l’athlète par Ben la charge et la vitesse de déplacement de barre donc c’est un petit boîtier avec un fil qui VI s’accrocher à la barre et qui va nous permettre de récolter pas mal de données aujourd’hui la littérature nous a donné pas mal d’informations c’estàd qu’on sait que sur une RM au squat on va être autour des 025 m/se sur un bench press on va être retour des 0,17 0,18 m/se donc c’est-à-dire que même si je veux sur mon groupe d’athlètes je leur dis aujourd’hui on va faire unrm par exemple pour me tester le max je leur demande quand même de de me donner la vitesse de placement de barre parce que ça m’est déjà arrivé que je suis arrivé au début rugby les mecs une RM il me marquaient leur valeur et des placacements de barre par exemple sur un bench à 0,35 m/se sauf qu’on sait que la la littérature nous a dit que c’est 0,17 donc je sais je sais que le mec il avait encore trois res en réser donc il l’a fait à la cou donc c’était pas sa vraie unrm donc derrière j’ai toute la planif que j’aurais mis en place aurait été totalement faussée parce que j’avais une une 3 RM à la place d’une unrm donc maintenant j’utilise que les accéléromètres parce que je sais que à tel pourcentage de son max ça correspond à telle vitesse donc en fait chaque jour ils vont réévaluer leur charge de travail par rapport aux vitesses que je connais et ça me permet de m’adapter moi au mieux à l’état de forme du jour et de l’athlète ok ça du coup dans ski c’était quelque chose que tu avais commencé déjà un peu à mettre en place comme tu nous disais tu travaillais avec Jim Jim ou OK et et après du coup tu as réussi à la mettre dans le rugby comme on discuté 6 athlètes 40 comment tu as pu apporter cette façon de travailler sans ben être perdu dans dans les entraînements ou dans dans la gestion en fait dans la logistique ouais ben ça c’est vrai que ça c’est c’est un truc que j’ai utilisé ça fait depuis 2015 maintenant que je suis dessus donc j’ai pu me faire la main un petit peu avec avec les skilleurs j’ai commencé à me familiariser avec l’outil quand je suis arrivé dans le dans le rugby j’ai encore plus pousser l’utilisation euh au début c’était la peti problème de de logistique quand on a 20 30 mecs à gérer qu’on a quatre accéléromètres C dans la dans la rotation et puis euh forcément je peux pas me me décupler donc il a fallu que je rendre les athlètes autonomes donc il y a eu deux trois séances où je les ai familiarisé avec l’outil aujourd’hui les athlètes ils sont complètement autonomes ils prennent leur outil il prennent leur app enfin j’ai des tablettes donc il viennent rentrer sur la tablette ils savent exactement ce qu’il faut faire ils sont complètement autonomes j’ai même plus à m’occuper d’eux c’est vraiment confortable une fois qu’on a on les a familiarisé avec l’outil c’est du confort derrière ok donc du coup VBT la seule on va dire restriction c’est que techniquement ça doit être le mouvement doit être maîtrisé ouais donc ça après je suppose que que tu as tu reprends les bases et tout après tu avais un groupe de rugby de rugman qui était quand même déjà assez chevonné donc techniquement ça allait plutôt bien mais après ouais en terme de c’est vraiment game changer un petit peu quand même dans dans l’entraînement dans la prise en charge dans la planification et surtout dans la surcharge quoi enfin pour éviter les surcharges les surentraînement c’est choses comme ça quoi ouais ouais mais clairement aujourd’hui c’est vrai que la seule contreindication ça va être un débutant ser à rien avec un débutant qui débarque à la salle de lui faire faire du travail au VBT il y a tellement de choses à faire avant mais une fois qu’on a des athlètes qui commencent un peu à être confirmés clairement un Game changer comme tu dis hein et c’est-à-dire que euh moi je vais quasiment plus faire de travail à la r aujourd’hui on sait que sur les barres qui sont au-dessus de 80 % du max si je gagne 0,07 m/se sur ma barre à 80 % ça équivaut à 5 % d’amélioration sur ma unrm donc je peux améliorer ma force sans avoir à me mettre des charges hyper Loures sur le non j’ai pas besoin de tester pour savoir que je suis capable de faire plus plus exactement ou du moment que tu améliores ta vitesse sur ces charges là oua une RM va augmenter sachant que c’est pas des spécialistes de la force donc au final on s’en fiche de prendre le risque d’aller d’aller faire un RM quand on sait qu’on qu’on veut juste être plus fort ouais c’est pas des spécialistes de la force et puis surtout que peut-être que de jours avant ils se sont mis un match où ils ont jou 70 minutes ils ont fait des mêlés ils sont pris des plaquages donc il y a aussi ces contraintes traumatique ben quand le mec il a les cervicales il a fait 12 mêlé qu’il est bloqué des cervicales si je lui demande de se mettre 200 kg sur le dos il va me dire ais tu es tu es bien gentil mais là je su un peu mâché donc le fait de décharger un petit peu là-dessus d’avoir gen de demande toujours d’avoir cette notion de de de d’intention de vitesse de toutes les barres qu’il vont faire c’est moins traumatisant et on arrive quand même à à développer les indices de force 100 m de chargeelour pu en tant que prépa physique c’est c’est c’est c’est un confort de fou parce que bah quand même en général quand il y a des blessés surtout quand c’est quand ça arrive à la muscu et cetera on vous êtes les premiers à vous faire taper dessus quoi ah mais clairement surtout quand c’est des joueurs importants du style si c’est ton ton meilleur joueur ton capitaine qui se bloque le dos à la muscu tu vas voir le Main àur tu lui dis bah là il s’est bloqué le dos tu vas sur la pointe des pieds tu pas trop y aller quand même parce que tu dis je vais prendre une branlée là et c’est vrai que ce travail là nous permet de de limiter un petit peu tout ça puce qu’on arrive ben forcément à à réguler par rapport à l’état de forme donc on prend moins de risque forcément sur la après la la blessure enfin le risque zéro n’existe pas clairement mais c’est vrai que ça va nous aider à limiter ce ce avant il y avait vraiment avant avant ce truc là il y avait vraiment la question de dire bon ok j’aimerais bien qu’il fasse un max mais purée s’il fait le max il se fait mal et du coup peut-être que des fois tu passais à côté de de développement de certaines qualité juste parce que tu avais peur que que les mecs se fassent mal d’ailleurs c’est pour ça ben qu’on voit encore les gars qui font du demi squat du carart de squat et cetera et tout parce qu’ils ont peur de ça ils savent pas utiliser peut-être l’outil ou ou même juste qu’ils connaissent pas les mouvements ouais bien sûr ça non mais ça c’est c’est une certitude c’est que des fois on était frileux parce qu’on avait pas ces feedback là on était frileux d’aller essayer des choses de de de tenter des des planifications parce qu’on avait peur d’amener le l’athlète ou le sportif à la blessure et qu’aujourd’hui on a des feedbacks qui nous permettent de nous mettre des alertes ou pas sur un travail un travail et moi aujourd’hui franchement aujourd’hui avec les outils qu’on a dans la prépa j’ai franchement je suis assez serein dans le travail on a tellement de feedback qui nous permettent de voir est-ce qu’un athlète est en fatigue est-ce qu’il y a des alertes ou pas que c’est assez confortable aujourd’hui de de travailler puis en plus l’avantage c’est que l’athlète il est impliqué 100 % dans les dans dans lesefft il sait qu’il doit maintenir une telle vitesse il va être vraiment dans l’intention dans l’engagement tu PEI réduire coup vole Paris ont fait de séries S on été super bien fait d’aller chercher la ou 4è série forcément alors que quandur é sur un 4 x 3 ou 4 X 8 tu l’aurais peut-être obligé à faire les quatre séries alors que là tu te rends compte maisainant soit il est cramé ou alors il a vraiment bossé ben tu peux dire écoute tu peux passer autre chose ça fait le boulot comme ça c’est ce que je te disais tout à l’heure quand on on est à table tout ce qui est travail de velocity cut l c’estàdire que ça permet de réguler le nombre de répétitions qu’on va faire par série par rapport à la fatigabilité de l’athlète donc pour expliquer un petit peu le le principe c’est-à-dire que sur le travail de puissance il faut pas qu’il y ait une déperdition de vitesse de qui va au-delà de 20 % donc j’ai ma ma REP la plus rapide elle est à à une certaine vitesse je fais mes reps quand la dernière répétition fait 20 % de moins en terme de vitesse que la plus rapide j’ai un signal je m’arrête donc peut-être que sur la série 1 je vais faire 7ette répétitions la série 2 je vais en faire 6 Série 3 je vais en faire 5 et peut-être qu’à la série 3 parce que l’athlète est fatigué en faire que trois on est tout temps sur cette notion de vitesse et on bascule pas dans un autre travail et on sera voilà on sera resté vraiment dans ce qu’on est en train de rechercher et c’est ça qui qui rend les choses pertinentes et par rapport à ça du coup tu sais s’il y a tu je suppose que tu tu discutes avec d’autres préparateurs physique et tout est-ce que dans les autres clubs de rugby est-ce que tu sais si c’est quelque chose qui est couramment aussi utilisé ou est-ce que ça reste encore un petit peu frileux par rapport à ça alors c’est quelque chose qui est qui commence à être de plus en plus utilisé parce qu’on a aujourd’hui une jeune génération de prépa qui arrive et qui est sensible à ça euh mais c’est pas encore totalement démocratisé je pense que moins de 50 % des clubs professionnels travaillent de cette manière-l ouais c’est c’est peu ouais c’est encore assez peu et euh ouais voilà c’est encore un petit peu méconnu parce que ça ça ça commence enfin ça commence ça fait quand même 10 ans que c’est c’est arrivé mais on est souvent resté sur sur des acquis et et et là on commence à en parler de plus en plus ça commence à prendre de plus en plus de place ça demande aussi quand même après à se former à commencer à apprendre parce que ben tu peux nous en parler un petit peu là tu tu tu nous disais que bon voilà les mouvements du classique le squat le bench le soulev terre tu vas avoir des valeurs de de référence pour savoir dans quelle zone travailler mais tu me disais voilà après sur le front squat sur les mouvements d’altterro c’est un peu plus compliqué et du coup est-ce que tu peux nous parler un petit peu de ce que tu es en train d’essayer de de enfin d’essayer ce que tu es en train de mettre en place par rapport à ton fichier excel T c toutes ces chosesl un peu mais déjà ce qu’ ce qu’il faut savoir avant avant de commencer ça c’est que on a pas mal de de valeurs qu’on va pouvoir récolter ça va être les moyennes est-ce qu’on on va utiliser les moyennes de puissance est-ce qu’on va utiliser les moyennes de puissance sur la ce qu’on appelle mine propulsive vélocité j’ai juste la période de la phase de poussée parce que quand je faire un squat j’ai une phase de d’accélération puis de décélération derrière donc on va avoir soit que l’accélération soit l’ensemble du truc est-ce qu’on prend le pic de puissance le pic de vitesse voilà il y a pas mal déjà de de facteurs à prendre en compte donc ça c’est c’est c’est une première chose euh moi ce que j’utilise le plus c’est le le la moyenne de puissance sur l’ensemble des mouvements ou ça va être un pic sur les mouvements d’altérophilie parce que la problématique sur les mouvements d’altéros c’est la consonante technique donc ça c’est je pense que c’est c’est la limite un petit peu du travail là c’est partir sur un travail de semi-technique et et prendre le pic de puissance d’accord c’est au début je je faisais le la moyenne partir du sol en fait il y avait un tirage qui était précoce il pens c’est qu’un truc c’était tiré comme des anânes ouais ça fussait complètement le mouvement donc le le le test n’avait enfin ou l’exercice n’avait plus trop de sens alors que sur les semi-techniques ça limite un petit peu ce travail là euh et moi ce que je suis en train de de construire aujourd’hui c’est un tableau parce qu’on a beaucoup de littérature sur les mouvements de base comme tu disais on a des des vitesses sur chaque pourcentage mais c’est encore un petit peu trop restreint à mon goût donc j’essaie de construire une base sur membrin membbr sur des mouvements de membrinf membbr Sup et mouvement d’altérophilie pour avoir sur tous les mouvements et tous les pourcentages une vitesse de référence ok donc ça va une sacrée basonée tu me disais que tu avais à peu près s mesures par par mouvement pour avoir quelque chose où tu peux dire bon ben là ça commence à il y a une tendance qui commence à se dessiner sur telelle telle activité sur tel mouvement je peux être dans la puissance la vitesse c’est c’est exactement ça tant que j’ai pas au moins 100 données par mouvement je j’utilise pas je prends pas en compte et après je pense que ça aura une réelle réelle valeur quand je serai autour des des 500 ou là ce sera vraiment voilà ça confirmera un peu plus encore voà puisavantage c’est qu’au fur et à mesure ben ça va s’affiner et puis dans 2 ans ça sera encore les mêmes choses et ça va commencer à à accumuler donn les formations qui sont disponibles au marché là-dessus ça t’apprend juste à utiliser à utiliser la machine et après il y a quoi il y a quelques protocoles qui doivent exister si tu cherches à droite à gauche mais c’est c’est c’est peu documenté au final ouais aujourd’hui les gens il l’utilisent et puis c’est tout quoi ouais il y a peu de littérature et puis aujourd’hui enfin la seule littérature qu’on a c’est la littérature anglo-saxone donc si on parle pas anglais déjà on est vite vite en difficulté euh il y a pas trop trop de littérature donc faut aller chercher on nous apprend à faire un profil charge vitesse mais après ce profil là qu’est-ce qu’on en fait une fois qu’on a le profil charge vitesse ok j’ai mon profil mais comment comment je l’utilise qu’est-ce que je mets en place derrière avec les athlètes comment je travaille voilà et je pense qu’il il manque encore un petit peu de de de base de données pour que ce soit vraiment utilisable pour le grand public mais la France compte sur toi parce il y a quelques chanceux qui vont avoir accès un peu à là tu nous disais que tu allais intervenir sur le le le dust métier de la forma à perpignant en vélocité best training d’ailleurs et est-ce qu’après est-ce qu’on peut te mettre dans la sauce un petit peu en disant que que tu aurais envie de de travailler sur de la formation du contenu un petit peu par rapport à ça ouais c’est c’est des idées qui travaillent c’est sûr mais il y a encore un petit peu faut faut proposer une vraie formation avec du vrai contenu et quelque chose de bien fait voilà quand je partirai sur sur ce projet là ce sera quelque chose qui vaudra le cour OK et est-ce qu’on peut quand même te te est-ce que je pense que les gens mettra ton Instagram pour qu’ils puissent te suivre sur les réseaux est-ce que tu as déjà pensé à proposer un peu du mentorat ou des choses comme ça sur ces ce modul est-ce que tu as déjà eu des demandes ou pas sur ces partres ouais j’ai eu des demandes c’est vrai mais jusqu’à présent en fait je je resté focus sur sur mon mode prépa c’est comme par exemple sur les podcasts comme je disais tout à l’heure c’est le premier que je fais aujourd’hui c’est le premier que j’accepte de faire parce que mon temps je me je le destinais complètement à la prépa je prenais pas de d’athlète en parallèle je restais focus sur ce que je faisais et aujourd’hui j’ai envie de m’ouvrir un petit peu plus donc c’est-à-dire que ben là j’ai accepé déjà de venir ici parce que bon on se connaissait déjà et que j’avis envie de partager ce moment avec vous mais peut-être partir sur des mentoras ouvrir un petit peu plus que j’ai développé pendant X années essayer de partager un petit peu plus voilà je vais commencer à le faire dans les années qui vont venir ou sinon vous venez au dust de perpignen et vous pourrez avoir accès à son contenu et en tout cas nous on est client on a hâte ou voilà c’est cool je pense que c’est vraiment comme tu dis c’est comme dis Quentin c’est les formations qui vont vendre c’est sur comment l’utiliser mais vraiment la ok appuyer sur un bouton Start et tout ça je pense tout le monde peut y arriver après avoir les données les revues les toutes ces choses là je pense que le jour où tu arriveras à sortir du contenu comme ça ça sera vraiment c’est c’est un gne de temps voilà tu sais que toi toi tu auras passé 15 ans à faire ça quelqu’un qui a fait ça pendant 15 ans pourquoi toi tu vas te prendre la tête à tout refaire ouais puis il y a aussi la la problématique enfin la problématique c’est que aujourd’hui on a toutes ces données cette base de de vitesse mais que chaque athlète est aussi différent donc après la deuxième étape que je vais avoir ça va être de plus individualisé par rapport au profil de chacun et là ça va être encore une étape au-dessus ça sera le module 2 ça sera le module 2 ça sera le step supplémentaire mais ouais ouais il il y a plein de choses plein de choses à développer et je pense que dans les années à venir il y aura du du du TA c’est l’homme à suivre l’homme à suivre de sur la prépa tion physique quand est-ce que tu as quelque chose à non c’est bon franchement moi j est-ce que tu voulais rajouter quelque chose avant de finir est-ce que tu avais quelque chose à nous dire ou pas de particulier voilà bon rien de particulier non non c’est je pense qu’on a déjà pas mal ben écoutez merci à tous de nous avoir écouté euh super podcast encore une fois intervenant de très haute qualité on a hâte de suivre du coup sur le le travail sur le contenu des formations qui seront à suivre bientôt si vous voulez le retrouver vous aurez son instagram sur sur la page YouTube et nous on le partagera aussi sur le réseau et voilà c’était Jérémy mi et ben merci à toi merci beaucoup merci ciao à bientôt .

Déroulement de la vidéo:
0.24 donc aujourd’hui le skierur joue sa vie une piste comme kids Bull c’est une des pistes les plus dangereuses du monde c’est-à-dire c’est une piste où il y a
6.359 déjà eu des des morts il y a des graves accident dans l’histoire du groupe que j’ai entraîné en 2017 on a eu le décès
12.44 de d’un skierur David poisson qui s’est tué à l’entraînement au Canada il a perdu un ski il s’est pris un arbre donc
18.16 il est tué il est mort sur le cou dans la même année Valentin girôoine garmich part kir en Allemagne il s’est luxé les
23.519 deux genoux quand ils l’ont pris sur la piste ils savaient pas s’ils allaient lu amputer les jambes ou pas
30.279 ok bonjour à tous on se retrouve aujourd’hui pour le podcast de reibborn numéro 14 ou 15 on sait pas trop il faut
35.44 que on a oublié de regarder ça mais le plus important c’est qu’on est toujours avec coach Quentin et aujourd’hui on est
40.92 avec Jérémy mial préparateur physique de ancien préparateur physique de l’équipe de de France de ski et actuellement
46.8 préparateur physique de de Carcassonne ben je vais te laisser te présenter rapidement et puis après on va pouvoir
51.879 échanger sur des discussions plutôt intéressante et surtout par rapport au au VBT je crois bien allez c’est parti
57.12 ben mi Jérémy moi ça fait maintenant 15 ans que je suis dans la préparation
62.879 physique j’ai commencé bon j’ai touché à pas mal de sport mais notamment j’ai fait 6 années avec l’équipe de France de
68.4 de Sky alpin donc j’étais en charge des hommes ça m’a amené sur sur des grands événements comme les Jeux Olympiques les
74.84 championnat du monde j’ai fait les coupes du monde avec des résultats puisqueon a fait 32 podiums pendant les
81.36 6 années trois médailles olympiques et deux médailles au championnat du monde
86.439 ok à l’essu de ces 6 années je suis parti dans le rugby maintenant ça fait c’est
91.56 ma 4e saison au sein de Carcasson donc de années TR années de ProD2 et puis là c’est une année de nationale avec
98.079 des qualifications pour des phes finales de PR de et puis une descente l’année dernière donc j’ai vécu un petit peu
103.439 tout dans le ascenseur émotionnel ascenseur émotionnel ouais exactement et
108.56 en terme de de background au niveau universitaire juste rapidement tu as pu passer sur est-ce que tu es passé sur la
114.439 voie universitaire la voie on va dire de l’État avec les BP comment tu as ouais là-dessus al je suis assez assez
120.719 polyvalent puisque j’ai j’ai un master EOPS donc entraînement optimisation la performance sportive et j’ai un D GEPS
128.84 altérophilie musculation force athlétique bon j’ai un BP H2F j’ai un de rugby à 15 et un de ski
139.92 alpin donc j’ai à la fois la partie scientifique la partie un peu plus terrain parler par les BP les de
145.2 d’accord et ça du coup la partie terrain tu as entraîné un petit peu ou enfin autre que dans la prépa du coup tu es
151.48 allé sur le terrain en rugby ou en ski ou est-ce que après du coup tu es resté vachement dans la partie prépa physique
156.599 ouais dans donc j’ai commencé en fait moi j’ai j’ai un parcours un peu particulier c’est qu’ initialement j’ai commencé ma formation par le DEPS rugby
163.599 donc j’étis prédestiné pour partir sur de l’entraînement rugby donc j’ai entraîné des jeunes dans le rugby et
169.36 dans le cadre de la formation du de j’ai une intervention d’un préparateur physique bris ja fuel qui est maintenant à never et lors de son intervention CTA
176.76 une révélation pour moi je me suis dit c’est le métier que je veux faire donc déjà j’aimis ça la prép pas quand je jouais moi j’aimais m’entraîner j’aimais
182.879 la muscu mais cette intervention ça éé une ré révélation et j’ai basculé derrière sur le le métier de la prépa
188.64 physique et tous les diplômes qui vont avec mais ouais j’ai j’ai entraîné quand même à la base dans le ski en tant que
194.159 moniteur et donc au début du du rugby ouais donc rugby ski et puis après du
199.64 coup tu es revenu sur la prépa sur la prépa exactement ok d’accord très bien et sur la la prépa physique du coup dans
206.519 le dans le ski est-ce que tu peux nous en parler un petit peu plus est-ce que c’était déjà en 2015 quelque chose de de
213.239 présent d’omniprésent c’était vraiment par ça qui qui jurait ou est-ce que tu as dû faire un peu comme tout au début
219.4 creuser ton trou et montrer que la prépa physique ça pouvait être intéressant dans dans le ski non quand je suis arrivé en fait j’ai eu de la chance et
225.08 que j’ai j’ai initial enfin directement j’avais un groupe qui était ultra compétitif dà c’est un sport individuel
230.48 ce qui change beaucoup de choses par rapport à ce que je vis aujourd’hui dans le rugby c’està dire que si les mecs ils se prennent pas en main et s’ils sont
236.36 pas impliqués dans ce qu’ils font euh il y a pas de résultats s’il y a pas de résultats il sont pas payé ils sont virés de la Fédération c’est simple
241.64 c’est pas des contrats en fait ils sont payés par les sponsors donc ils sont c’est une application qui est complètement
247.879 différente quand je suis arrivé déjà j’ai découvert des sportifs qui étaient ultra complets sincèrement pour le
254.64 moment c’est les athlètes les plus complet que j’ai eu à entraîner tout ce que je leur proposais peu importe la discipline il était performant donc très
261.359 très très très fort dans tous les domaines euh la seule chose que j’ai dû moi réguler c’est ce qui m’a sensibilité
267.96 un petit peu c’est quand je suis arrivé tout ce qui est d’altérophilie il suffit que préalablement ils aient pas eu un prépa qui était euh sensible à ça donc
275.759 j’ai passé beaucoup de temps là-dessus mais vu que c’est des athlètes qui sont qui ont une pro préception qui est hyper
281.199 développée ça va hyper vite dans l’apprentissage très rapidement on a on a on a pu accentuer le travail là-dessus et ça
289.24 a été vite mais sincèrement le le ski ça a été très simple pour moi comme vraie
294.36 première expérience sur du haut niveau ça a été ça a été très simple parce que j’avais des athlètes qui étaient déjà
299.759 sur du du haut niveau il y avait juste des adaptations à faire quoi d’accord ok parce que ça fait des quand même des des
306.199 athlètes on pourrait se dire il se base beaucoup sur l’activité en elle-même voilà que le ski ta boout êre fort si tu sais pas ce est ça ça fonctionne pas pas
312.68 comme dans le rugby ou si tu es fort ben l’avantage c’est que si tu vas tu cours tout droit et que tu rentres dans les mecs tu peux avoir un peu plus d’impact
318.84 mais donc ouais donc déjà c’estez réceptif au niveau de la de la prépa mais déjà c’est une approche est complètement différente c’est que tuà-dire qu’une saison de rugby ça va
324.96 durer 9 10 mois et dans la même semaine on va avoir les entraes éement qui vont
330.28 être terrain muscu et les matchs dans le ski c’est complètement différent une saison va commencer fin novembre début
336.28 décembre et va finir fin mars début avril tout le reste du temps c’est que de la prépa physique c’estàdire que pendant la période estivale nous le
342.28 centre d’entraînement était basé à Alberville on pouvait passer 5 6 semaines sans voir les skis donc les
348.68 mecs il faisaient de la prépa matin après-midi tous les jours nonstop et il skiaent pas donc on avait un gros gros
354.039 bloc de développement physique et ensuite on commencait à skier un petit peu sur les glaciers en France donc on allait au de ALP patigne à valdiser mais
361.88 c’était des des petits blocs pour se remettre en jambe mais en gros pendant 3 4 mois la priorité c’était la prépa
366.96 physique on faisait que ça que ça que ça par contre dès qu’on commençait à voyager qu’on allait au Chili pour
372.0 commencer à vraiment skier là la partie ski prenait le dessus sur la prépa mais on avait déjà eu ce gros bloc de
378.12 développement donc et puis c’est hyper confortable pour nous c’est-à-dire que même sur la quantification de la charge même si on est légèrement en en
384.84 surmenage c’est pas très très grave puis qu’on sait qu’il y a pas d’événements qui arrivent on peut vraiment pousser sur la prépa et puis avec des athlètes
390.84 demandeurs c’est c’est facile quoi au niveau qualité physique en ski c’est c’est quoi que tu recherches
396.56 principalement genre ça différerait comment par rapport au rugby par exemple c’est quoi la différence on va dire pour parce qu’ on sait qu’on veut construire
402.88 des athlètes donc on fait toujours un peu ouais on veut développer des qualités physiques mais après quand tu te rapproches de l’échéance par exemple
409.44 par rapport au rugby sur quoi tu mets l’accent alors moi dans j’étais en charge donc chez les garçons on était
414.479 deux prépa on était divisé en deux il y avait Tibo mon collègue qui lui s’occupait plus des slalomur est
420.199 géantiste et moi plus des descendeurs et super géantiste donc c’est des disciplines de vitesse la la base de la
426.96 des discipline de vitesse ce qu’on recherche des athlètes qui sont très très forts puisque sur des des pistes
432.28 par exemple je vais prendre une piste comme kidsbll qui qui est la plus connue dans dans le monde du ski euh on va prendre des dépressions qui vont être à
439.16 10g dans les virages jusqu’à 10g en moyenne on va être sur 4 5 g de pression sur le pied extérieur donc sur une jambe
445.8 donc il faut qu’on soit très fort sur la sur la la résistance donc sur travail excentrique travaille d’isométrie donc on cherge des alètes qui vont être très
451.8 très fort après une descente peut durer jusqu’à 2 minutes 40 donc 2 minutes 40 sachant que dans le porti de départ
458.12 avant de partir ils sont déjà autour des 150 160 165 en FC donc on est déjà sur
463.24 des FC qui sont très hautes avant de partir donc on va chercher des athlètes qui vont être forts et et résistant au
469.039 aux efforts à fortte composante lactate voilà on va ce qu’on ce qu’on va
474.28 rechercher donc il en avait des des grosses parties donc aérobi parce que on a besoin de ce socle là d’aerobi qui est très important pour tenir une saison
480.879 complète dans l’enchaînement des efforts puce qu’on a aussi la problématique de l’altitude tout ce travail en hypoxy qui
486.0 rentre en compte qui va accentuer cette problématique de de de production de la Tate ça va accroître la vitesse de
491.96 production de la Tate donc du coup on a ce travail d’ipoxy on a ce travail aérobi on a ce travail de force on
497.479 essaie d’avoir ces athlètes moi ce que je recherchais si j’avais eu des techniciens plus la lomur genti j’aurais
503.12 plus été sur des efforts de pliométrie travail de puissance plutôt d’accord parce que après le skill en lui-même il
508.96 peut faire c 3 ou il est quand même assez quanton est dans une une descente où il va faire les trois descentes ouais
515.36 alors on a aujourd’hui dans le ski y a une discipline qui s’appelle le combiné alpin où c’est une épreuve de slalom une
521.399 épreuve de descente donc là il ils font les deux mais généralement les skieurs
527.48 sont soit spécialisés dans la technique soit dans la vitesse sauf des des skieurs un peu hors norme comme on peut
533.24 avoir en France Alexis penturau aujourd’hui c’est les Suisses qui ont Marco odermat qui fait un petit peu
538.44 toutes les disciplines voilà mais mais c’est euh c’est assez euh marginal c’est
543.48 des c’est des on parle de de skieurs qui sont un petit peu horors norme qui ont déjà cette capacité de pouvoir faire plusieurs disciplines parce que c’est
549.0 quand même très euh énergivore donc il faut être en capacité de récupérer vie de pouvoir enchaîner les ces effortsl et
555.24 puis les entraînements entre celui qui va s’entraîner sur les quatre disciplines et celui qui va s’entraîner que sur deux ça va changer beaucoup de
560.6 choses c’est ça sur les qualités en plus à développer est-ce que il doiv metttre l’acent sur à force sur App Plio ces choseslà c’est pas être facile à gérer
566.6 qualité physique c’est les entraînements et puis c’est même qu’ pense pas aussi c’est tout ce qui est matériel c’estàdire que généralement t l’été
572.399 au-delà de ceill est les skieurs ils reçoivent 30 40 paires de ski tous les ans mais en fait parce que ce qu’il faut
578.519 savoir c’est que les marques ne sont pas en capacité d’envoyer toutes les mêmes
584.2 les paires de skis identiques donc ils vont trier leur ski donc il y a tout ce
589.24 partie aussi logistique derrièred là de l’entraînement technique c’est c’est hyper complet en fait c’est
595.44 enfin hyper compliqué dans le dans l’approche donc c’est pour ça que c’est c’est c’est compliqué d’avoir des athlètes qui font un petit peu tout OK
602.32 ou parce que du coup tu as la taille des ski du coup qui va qui va être impacté par rapport si tu es plus sûr de la descente ou sur du du slalom ces chosesl
609.079 en des cent on est sur des ski font faire 2 m 2, 155 2, 16 en slalom c’est 1 m 1,65 donc on est vraiment différence
615.92 ouais rien à voir ouis du coup les qualités sont pas et tu disais du coup il démarre dans une une fc assez haute
621.44 sur le le sas de départ c’est quoi c’est l’objectif de les faire partir assez haut est-ce que c’est le stress est-ce
626.56 que c’est c’est volontaire c’est pas volontaire c’est clair ent le stress aujourd’hui une piste comme kids Bull c’est une des pistes les plus
631.8 dangereuses du monde c’est-à-dire que c’est une piste où il y a déjà eu des des morts il y a des graves accidents dans l’histoire du groupe que j’ai
637.92 entraîné en 2017 on a eu le décès de d’un skieur David poisson qui s’est tué à l’entraînement au Canada euh il a
643.399 perdu un ski il s’est pris un arbre donc il est tué il est mort sur le cou euh on a eu dans la même année Valentin girom
650.279 moine garmich Parton KERS en Allemagne il s’est luxé les de genoux donc on con on connait un petit peu fonctionnement
656.48 un genou c’est pas fait pour pour se luxer c’est dire quand ils l’ont pris sur la piste il savait pas s’ils allaient lui amputer les jambes ou pas
661.88 donc aujourd’hui le le skieur joue sa vie le skier de vitesse joue clairement sa sa vie euh où l’accident grave fait
669.48 un peu partie du du jeu donc ils le savent ça et une piste comme kids Bull moi le matin quand dans la voiture je
675.76 prenais les skilleurs personne parlait ils étaient tous blancs parce qu’il ils ont conscience de ce danger dans quoi
681.279 ils se lancent mais ils ont ce besoinl c’estadrénaline c’est ce qui les fait vibrer aussi mais derrière ils savent ce
686.399 qui peut arriver parce qu’en plus les pistes il j de l’eau pour qu’elle soit parce qu’en fait nous on se rend pas compte quand on va au ski sport d’hiver
693.8 voilà parfois c’est vert glacé il y a des parties vert glacé déjà c’est c’est compliqué mais je suppose qu’en fait eux tout le long c’est c’est ça en fait
700.279 c’est c’est de la c’est même pas de la même pas parler de neige quoi c’est de la glace qu’ils ont sous les sous les skis et et c’est c’est il faut vraiment
706.639 être très très puissant pour vous retenir quoi ben pour pour imager un peu le truc c’està-dire qu’une piste comme kit Bull il y a des portions qui sont à
712.24 85 % de tente donc on imagine une ouais on imagine une une patine noire qui est
718.56 presque à la verti verticale voilà c’est une pass noire la verticale c’est de la glace qui est injectée comme tu dis presque une semaine avant ils viennent
724.68 arroser la piste à la lance incendie parce que ils ont tellement de puissance et avec la vitesse c’est-à-dire qu’ils
730.44 vont 140 150 jusqu’à 160 km/h avec la pression quiil mettent ce serait trop dangereux il viendrait exploser la neige
736.48 et ça ferait des trous et ce serait beaucoup trop dangereux donc pour que il y ait moins de danger sur la piste et
742.959 que ce soit plus équitable entre le 1ier ou le 60e la piste c’est de la glace et
748.16 malgré tout il y a des il y a des rails qui qui vont se faire mais ouais voà c’est c’est une passie noire clairement
753.48 ok ça ça on a du mal à se représenter parce que nous on a la représentation du sport d’hiver où tu en fais en loisir
759.279 même si des fois il a moment c’est ver glacé mais mais je pense 85 % en fait c’est s’il décolle un tout petit peu il
764.959 termine en bas de la piste il a même pas fait de toucher de la ah mais il ils font des sauts qui vont faire 50 60 m de
770.12 long ils sont à 5 6 m de haut ouais en fait la la télé est on se rend pas
776.16 compte de tout ça on se rend pas compte de la vitesse on se rend pas compte de la longue des sauts mais c’est c’est assez impressionnant ouais quand on est
782.0 sur le sur le sur sur le bord de la piste qu’on voit la longueur des sauts même pour toi toi parce qu’à force de de
787.399 vivre avec ces mecs là tu ça devit des amis et tout tu devais cette pression elle doit être encore plus énorme aussi
792.72 pour toi et tu dois pas leur montrer parce que si en plus toi tu montres que tu es stressé que tu as peur pour eux c’est pas bon donc faut tu dois gérer
798.199 aussi une pression qui doit être ça doit être incroyable le départ de la course quoi ouais ouais ouais c’est bah c’est surtout il y a des courses plus plus que
804.48 d’autres c’est vrai que quand on on passe 250 jours ensemble à vivre des
809.72 fois on partait des des mois entiers je passais plus de temps avec les athlètes qu’avec ma famille on partait un mois au
814.8 Chili on partait un mois au Canada donc c’est vraiment on crée ces liens et puis il y a les événements qu’on a vécu dans
819.959 ce groupe qui soit des des événements durs ou des beaux événements parce quand on fait des médailles olympiques des médailles champ du monde ça ça ça crée
825.68 ses événements donc clairement c’est c’est comme une famille c’est notre deuxième famille donc c’est vrai que quand on on a des pistes comme bormot
833.36 com moi j’ai déjà vu des un athlète ben Valentin qui CIT lui les genoux quand il est revenu à bormot en Italie il arrive
840.04 au départ de la piste il a repris les skis il est redescendu à côté enfin il a repris les les télécabines ilcendu parce c’était beaucoup trop dangereux donc euh
847.12 c’est vrai qu’on ça nous rassure un peu quelque part quand on VO descentere parce que il il y a des moments c’est vrai qu’on on a peur pour pour leur
852.839 santé et puis ben forcément les les organisateurs eux ils sont aussi dans dans la limite entre le spectacle rendre
859.92 une piste euh spectaculaire le rendre le enfin que ce soit pas trop
865.8 non plus dangereux pour les athlètes c’est toujours un petit peu compliqué la limite elle est elle est euh elle est fine et des fois on se rendait compte
872.68 que c’était beaucoup trop dangereux les les sauts sautaient beaucoup trop et dans ces conditions on peut avoir peur
877.759 pour le pour la tête clairement du coup vu qu’il y a beaucoup de de stress il y a c’est un sport où il y a besoin de
883.279 beaucoup de visualisation il y a la peur tomber et cetera vous avez un enfin il y avait sûrement il y a un prépa mental
889.68 ouais alors euh c’est vous qui vous occupez de de ça non là-dessus euh pour les jeunes skieurs la Fédération mettait
896.839 en place un pool de préparateur mentaux euh par contre chez les professionnels
902.6 chaque skierur a son prépare son préparateur mental c’est lui qui va le
907.839 trouver c’est lui qui va le rémunérer parce qu’il y a besoin d’avoir aussi cette cette notion de de confiance de
915.12 relationnel qui est importante je pense que un skier ne peut pas travailler avec n’importe quel pépental il y a vraiment
920.639 besoin d’avoir ce relationnel ça c’est important et ça c’est eux qui font se démarche individuelle il travaillent pas du tout avec vous par contre du coup les
926.959 prépar certains prépar des il vous disait pas voilà il faut qu’il fasse tel exercice de respiration de visualisation
934.079 avant non il se débrouille tout seul non là-dessus ils étaient assez autonomes il travailler de leur côté avec leur
939.279 préparateurs mentaux ok put c’est dommage j’aurais bien aimé savoir j’aurais bien aimé savoir ceux qui le
945.48 font et du coup au niveau blessures donc
951.319 bon il y a évidemment les blessures voilà qui fonent dans un arbre on pe faire mais en terme de de de blessures
957.24 les blessures les les les plus les plus plus commune sur sûrement les les genoux ouais clairement aujourd’hui c’est chez
964.24 les skieurs la blessure du skieur c’est la rupture des légaments Croisés moi j’avais un skierur qui avait eu cinq opérations des des Croisés c’est-à-dire
971.24 qu’au bout d’un moment ils ont ponctionné partout donc et comme Valentin que disait que c’était luxé c’était lui il a une opération qui était
977.68 une première en France qui se fait en Italie qui se fait un peu aux États-Unis c’est paralogref donc ils vont chercher sur sur les cadaves prendre des
983.44 ligaments des tendons pour lui reconstruire un genou parce que comme il éétait luxé de genou il y avait plus rien donc il a fallu recréer et et je
989.079 c’est aujourd’hui c’est c’est une opération qui commence à arriver parce que quand on a fait un DT qu’on a ponctionné derrière quand on a commencé à faire un Ken Jones qu’on a enfin quand
996.24 on on fonctionne un petit peu partout quand on a fait cinq croisés et ben il faut trouver des moyens de reconstruire un genou donc ça c’est la première chose
1002.759 et deuxième chose c’est les les dos hernidiscal parce qu’ils sont tout le temps en rotation le skieur donc je vous
1009.48 ai parlé tout à l’heure des des contraintes de force qu’on pouvait avoir avec les G faut Imagineer ça en rotation c’est comme si on faisait un squat
1015.36 tourner à 45°gr donc à chaque fois il y a des contraintes sur le sur dos qui viennent qui viennent se créer et ouais
1021.12 hernidiscale ligalement croisé et ça vous du coup vous y passez du temps à le bosser à la salle ouais malheureusement
1028.28 sur sur les genoux bon après on fait on fait tellement de muscus ils avaient quand même trois séances de membrin par semaine ouais il faisait six séances de
1034.72 de de muscus sur les jambes 6 he pardon de muscus sur les jambes ce qui est déjà pas mal sur une semaine donc on pouvait
1040.72 pas trop faire plus après sur sur le dos on faisait énormément de gainage beaucoup beaucoup beaucoup de gainage là-dessus je pense que ça a plus
1047.72 d’impact de faire du gainage que des rotations du buste avec de la charge de la vitesse et
1054.44 cetera ça c’est une discussion que j’avais eu avec un chirurgien justement là-dessus il y avait eu un colocque sur
1059.84 le les avis sont très partagés ouais c’est c’est c’est c’est vrai que c’est partagé il y a de tout et c’est une
1065.88 discussion que j’avais eu avec un chirurgien et qui lui préconisait de faire du gainage statique mais lesté
1070.919 donc on a fait ce travail là euh c’est quelque chose que je j’ai conservé aujourd’hui avec le rugbyman je fais
1077.679 donc euh quasiment toutes les semaines ils ont du gainage statique plutôt que de rester 5 6 7 minutes on va faire des
1084.559 des des séquences qui vont être plus plus courtes mais par contre avec 60 70 80 kg sur le dos voilà comment on
1090.6 travaillait et c’est vrai qu’on a pas eu trop de problématique pendant la la période où j’étais avec les skilleurs
1097.12 est-ce que c’est ça ou autre chose j’en sais rien mais je pense pas que ça puisse être mauvais de de de renforcer
1102.679 avec avec charge ouais mais après moi c’est sûr que moi j’aime bien j’aime bien dire que la colonne faut qu’elle
1108.32 bouge et avec des contraintes et tout mais bon enfin les les deux les deux sont sont intéressants de toute façon ouais ok et
1115.48 il a sur le le travail en hypoxy du coup c’était tu faisais du travail en plus
1120.559 par rapport à ça vous avez des des appareils ou des simulations ou autres ou est-ce que c’était du coup le fait lu
1125.799 d’être déjà en altitude quand tu pars en stage est-ce que ça ouais alors dans l’entraînement en altitude il y a il y a
1131.76 différentes approches soit vivre et s’entraîner en altitude soit vivre en altitude et s’entraîner en bas en pleine
1136.919 soit vivre en pleine s’entraîn à altitude donc quand on pait sur le stage stylo Chell on était pendant un mois
1143.44 plus de 3000 m d’altitude donc là on vivait le entraîner et vivre en altitude
1148.96 quand on était sur Alberville là il fallait qu’on on simule parce que si on voulait monter sur un Glac il a plus de 3000 il y avait 2 heures de route il y
1156.4 avait beaucoup de logistique donc c’était pas possible donc ce qu’on avait c’était un altirainur un altirainur
1162.2 c’est une machine reliée à une bonbonne d’azote qui va simuler une altitude très précise euh il y avait différents prot
1168.679 protocole donc c’est soit on avait des des protocoles d’acclimatation où on allait faire de l’aérobie de la basse
1174.679 fréquence autour des 3500 m d’altitude donc ça c’est ce qui nous permettait de de préparer les stages quand je partais
1180.28 au Chili où après on avait les les protocoles de sprint en hpoxy donc là
1185.76 c’était plus spécifique et là on travaillait à 2500 m on faisait des 10 secondes de sprint 20 secondes de récupe
1192.72 5 fois 4 blocs avec 5 minutes de récupe et là on avait des lactatéies qui étaient hyper élevés mais et c’était
1199.039 c’était impressionn les mecs il finissaient c’est simple on faisait le matin il faisait ça ça parait pas énorme en terme de volume mais ilétait mort
1204.64 pour la journée c’était fini il restait allongé pendant 1h3 par terre ils étaaiit blanc c’est c’est terrible et tu Mones à combien de lactat là on la
1211.84 machine en fait on le elle bloque à 25 mimol de lactate
1217.159 certains bloquer la machine la douleur ouais une personne lambda qui s’entraîne
1223.679 pas là-dedans c’est impossible elle verra jamais ça c’est impossible non elle a pas capacité et là il bloqué les
1229.84 machin j’avais eu cette discussion avec Florient Rousseau le le pistard qui je crois champion olympique
1235.64 de de vélo sur piste ouais on avait discuté un petit peu desentraînements qu’on faisait et des valeurs de lactate qu’on retrouvait quand je don ces
1241.36 valeurs là il halluciné ou oua il halluciné parce que on on a la problématique il y a l’effort de haute
1246.799 intensité il y a l’hypoxy du à l’altitude et en fait dans le ski on a la problématique d’occlusion en fait
1252.159 parce qu’on a une position qui est fermée et cette position de fermeture de de hanche va créer uneusion et accentuer
1258.88 ces problématiques de prod ça du coup le travail en BFR un petit peu ouais comment tu le comment tu pouvais
1266.12 quantifier est-ce que du coup ce travail en hiypoxy un peu c’est c’est c’est pas des annexes à la préparation physique
1271.2 mais on va dire que quand tu démarres préparation physique c’est pas des choses qui vont devenir naturellement tu vas pas dire je vais faire du BFR je
1276.24 vais faire de la l’hypoxy comment tu le quantifiais dans ta prépa est-ce que c’était à l’approche est-ce que c’était
1281.36 en préaison comment tu tu t’ arrivrivais à jongler avec tous ces paramètres quoi alors le ouais l’hypoxy c’est c’est
1286.76 assez dur à mettre en place et quantifier parce que c’est quand même tellement intense que dans une faut être
1293.08 quand même doux dans le dans l’intégration de ce travaill là dans la planif c’est-à-dire que j’avais une première partie qui était avant de
1298.96 partir au Chili donc quand on partait donc on partait mi-août mi-septembre où là j’avais tout le travail en haute
1304.039 altitude qui était autour des 3005 sur de l’aérobi pour l’acclimatation par contre la partie qui était la plus délicate c’était juste
1310.36 avant le début de la Coupe du monde c’était le le mois qui précède où là dans une période de 10 jours je placis
1317.2 trois séances comme je viens de t’évoquer de sprint en epoxy juste avant le début de la Coupe du monde puisque le début de la Coupe du Monde se faisait
1323.159 aux États-Unis on se retrouvait à 3000 m d’altitude donc voilà là j’avais un effort haute intensité en hipoxy pour me
1328.279 préparer au début de la Coupe du monde mais c’est vraiment un un shot c’est on en faisait pas pendant un bloc c’était
1333.84 10 jours il a de fatigue que pour les descendeurs ouais ouais et après si dans l’hiver on avait
1341.32 une période d’une dizaine de jours avant un grand événement parce que souvent les championnat du monde ou les Jeux Olympiques on avait une période un petit
1346.6 peu de récupération avant de partir là je rem mettais un shot je remettais deux séances là-dessus sur sur une semaine avant de partir sur un grand événement
1353.32 d’accord donc du coup un volume quand même assez assez faible mais çaétait un peu une piqueûure de rappel en fait avant d’être
1359.32 sur l’instant exactement par contre le BFR ça j’en faisais beaucoup plus dès qu’on faisit des des séances ça ça crée
1365.96 moins de enfin au contraire ça crée pas pas de séquel et utilisé dans la rééducation souvent pour r ch ex ouais
1372.72 ça c’est vrai que c’est c’est ça du coup sur le BFR et tout tu as continué à le je suppose à le mettre dans le rugby
1377.919 peut-être c’est quelque chose que tu as pu un peu continuer à mettre ou dans le rugby on le met en place avec les blessés ouais les mecs avant de qui sont
1384.24 parce que sinon quand on a un groupe de 40 joueurs c’est dur à mettre en place parce que ben déjà il y a le testing à
1389.84 faire pour voir pour évaluer un petit peu le le l’occlusion qu’il faut mettre parce que jambe droite jambe gauche est
1395.559 différent donc fa tous testing à à analyser après dans la logistique avec
1400.6 40 joueurs c’est toujours un petit peu plus compliqué quand j’étais au ski j’avais 6 se athlètes donc dans le dans
1406.52 le rugby je l’utilise avec des blessés mais je l’utilise pas avec le groupe pour un problème de logistique et ouais
1412.12 c’est vrai que quand tu passes de là vous étiez combien en ski en ski en gros on avait un groupe de de athlètes mais
1417.2 il y avait toujours deux blessés deux trois blessés et eux en fait je les voyais pas il dans une cellule de réathlétisation qui était complètement
1423.08 indépendante au sein de la fédération donc moi j’avais 5 6 7 grand max athlètes à gérer on se rend pas compte
1428.559 c’est VI que le le le fait de passer de 5 si athlètes ou à 40 c’est l’individualisation est beaucoup plus
1434.08 compliquée ça va plus se faire en fonction du post je pense on est en terme de rugby alors que vraiment SK bah ça va être en fonction de de l’athlète à
1440.08 chaque fois donc c’est vrai que ça ça doit même les sports ils ont ils ont rien à voir je pense qu’au ski tu tu
1445.32 pouvais périodiser un petit peu et tout alors que rugby tu peux pas quoi non on est que sur quasiment que sur de l’ondulatoire ça ça bouge ça bouge
1452.08 beaucoup plus alors qu’on pouvait faire plus de linéaire sur le sur le rugby sur le ski pardon et du coup la la qualité
1457.52 principale au rugby que que tu travailles parce qu’on avait reçu Manu Manu Plaza donc équipe de France il
1464.4 faisait final il était parti que sur de la de la vitesse accélération ouais accélération ouais ben aujourd’hui ouais
1470.84 puissance Axel vitesse c’est ce qui c’est ce qu’on va retrouver parce que c’est vrai que les notions de vitesse alors chez les avants c’est très rare
1477.559 pour que un avant atteigne vraiment ses hautes vitesses il va lui falloir 30 40 m ce qui arrive quasiment jamais un
1483.96 arrière pour être sur les sur les hautes vitesses il va falloir qu’il soit un peu plus de 40 m donc ça arrive aussi assez
1489.279 rarement sauf pour des ailiers ou sur des franchissements par contre des accélérations c’est sur des 5 10 15 m ça
1496.6 ils en font 5 30 40 50 dans un match donc la priorité va être là-dessus c’est
1501.72 le c’est la majorité d’actions qu’on va retrouver ça va être là-dessus sur des accélérations ce travail de puissance
1507.52 ok ouais mais ça du coup tu arrives à le du coup tu t’es pas comment tu as réussi
1512.559 à gérer un peu la transition entre le ski et le rugby du coup tu étais en l’hyper individualisation sur sur le ski
1519.36 tu as dû basculer sur quelque chose de plus général et peut-être aussi avec une comme tu dis vu qu’ils sont un groupe
1524.84 peut-être des gens moins impliqués est-ce que du coup ce goût un peu là de d’implication ça t’a pas manqué un petit
1531.24 peu par rapport au JOUE ou alors peut-être que tu as eu un groupe que tu as réussi à fédérer ou tu as réussi à alorsa j’ai eu de la chance c’est que
1537.36 quand je suis arrivé à carka j’avais un groupe de jeunes joueurs en fait il y a beaucoup qui étaient prêtés par des
1542.44 clubs de Top 14 donc St toulousin Stade Français Bayon donc des jeunes joueurs qui avaient les dents longues qui
1547.76 avaient envie de d’aller au-dessus donc qui était très impliqué sur ce qu’il faisait et de joueurs qui arrivaient à
1553.88 maturité mais pareil qui avait 25 26 ans et qui voulait encore aller voirudessus donc juste chance d’avoir directement un
1560.52 groupe très impliqué et volontaire dans dans l’entraînement c’est vrai que c’est
1565.799 pas toujours le cas dans le rugby ben les joueurs sont sont salariés il faut
1570.88 pas penser qu’ils adorent la muscu comme on peut l’imaginer beaucoup sont réticents à ça donc ils aiment bien
1576.559 jouer en fait ouais eux clairement ils disent nous on fait du rugby on veut jouer au rugby donc tout ce qui est un
1581.88 peu physique faut que tout soit intégré avec ballon donc que soit S forme de fitness game faut que ce soit des jeux
1587.559 euh dans l’entraînement dans la salle faut qu’on donne du sens à tout ce qu’on va leur proposer que ok cette situation
1593.2 va va t’aider dans telle situation qu’on donne toujours du sens donc ce que j’ai essayé de faire c’est directement les
1598.36 impliquer et coconstruire le projet avec eux voilà pour que ce soit le projet Vienne d’eux qu’ soit vraiment impliqué
1603.84 dans tout ce qu’on met en place ok parce que là du coup avec les rugman du coup
1609.08 tu le disais c’était un peu le tu as été tu as eu de la chance tu as eu des jeunes tu as eu ça mais du coup après c’est ce qui s’est passé ils sont tous
1614.48 partis après la super saison que vous aviez fait avec Carcasson sont tous partis en en Top 14 et là du coup tu as
1619.799 eu un effectif un petit peu nouveau tu as réussi à remettre cette dynamique où tu as senti ben la vraiment la
1625.2 différence entre ces deux ces deux équipes bah c’est compliqué parce que quand tu as travaillé plusieurs années
1630.279 avec des des des joueurs que tu as qui savent comment tu travailles ils sont autonome en travail donc ça se fait on a
1636.52 eu ces ces résultats qui étaient qui étaient plutôt bon et derrière quand on doit refaire un effectif complet il faut réapprendre à travailler avec tous les
1643.159 nouveaux joueurs et puis c’est c’est compliqué parce que quand ils arrivent de d’horizons différents c’est-à-dire qu’on a moi j’étais très surpris par des
1649.799 anglosaxons j’avais on a un joueur qui arrivait qui arrivait du leic donc un des plus grands clubs d’Europe qui qui a
1655.76 fait des accadémie qui était au portes de l’équipe d’Angleterre et quand je le vois je le voisis squatter box squat de
1662.559 suite dis mais pourquoi tu fais du box squat enlève-moi cette box on fait de l’ début de saison on travaille sur plein
1667.919 AMPL onetavaille les mobilités incapable de faire un squat pas vieux 25 ans 26 ans incapable parce que dans sa culture
1674.64 il avait fait que du box squat bon ok altero jamais fait jamais touché une barre
1679.919 d’altéau pourtant il avait fait toute l’académie jou dans des plus grand clubs et en fait il y a cette problématique là je me suis rendu compte que dans
1685.6 beaucoup de centre de formation ils avaient pas cette formation justement à toute
1691.039 l’altérophilie au squat en complète on les hyper spécialiste trop vite ok
1696.399 beaucoup de de prépa se disent ben par exemple sur sur une mêlée c’est un quart de squat sur un sprint on a jamais d’amplitude on a jamais C amplitude là
1702.08 donc on va les laisser là dedans et je pense que c’est une erreur parce que du coup si c’est pas fait chez les jeunes quand on arrive chez les PR on a plus
1707.48 trop le temps de le trava travailler donc c’était compliqué moi j’ai quand même voulu prendre le temps de retravailler avec ça et en fait du coup
1713.039 tu passes le temps à développer la partie technique plus que le développement physique et ça a été
1718.48 compliqué quand ils sont jeunes le plus important c’est d’en faire des des athlètes et pas des des rugbyman au final exactement c’est ça être fort être
1726.12 endurant avoir un specre de qualité le plus plus large possible avant d’être
1731.159 bonugby parce qu’on considère que s’ils sont là c’est qu’ils sont déjà bon rugby quand même bien sûr et c’est ce que je pense qui qui la grosse différence avec
1737.6 ce que j’ai dans le ski quand je disis tout à l’heure que les athlètes quand je leur proposais un truc il étaiit bon dans tout ce qu’il faisait c’est que
1743.2 dans leur apprentissage il touchait à tout je pouvais les mettre dans une piscine il nageait nickel on allait faire du vélo ça pédalit on fait du ok
1750.039 sur glace c’était bon on a été à l’INP il faisaient de l’altérophilie ils étaient bon cours sur 400 m pour des des
1755.96 mecs le la le le le ski s sport glissé court pas en 400 m en 54 qui m’a fait
1761.72 quand même donc ça galope voilà donc en fait dans tout ce qu’ils vont faire ils vont être performant parce que dans leur apprentissage che les jeunes comme il
1768.08 ils vont toucher à tous les sports ils vont faire tout et ça je je pense que c’est la richesse alors que dans le rugby comme on a des sélections qui vont
1774.36 être très jeunes déjà des 15 16 ans on commence à avoir des sélections pour aller dans les clubs et en fait on veut
1780.12 les hyper spécialiser trop tôt et en fait comme tu dis on nen crée pas des athlètes on on créé des rugby man on
1785.799 veut déjà les formater en rugbyman pro et c’est une sur le long terme en fait c’est ça ça leur dessert parce que un
1792.08 milliards de trucs mais ne seritce que la proprio la mobilité des fois tu vois l’impression que tu as besoin de de [ __ ]
1798.519 travailler un quart de d’expositité parce que c’est ça que tu travailles mais peut-être qu’à un moment tu vas tu vas devoir fléchir complètement et va
1805.159 falloir remonter un mec dans une position bizarre tu vas te blesser parce que tu as pas l’habitude tu descends toujours que de 10 cm sur ta boxe non
1811.76 mais clairement et puis euh et même au-delà de ça l’élasticité musculaire si si je pas les amplitudes je l’aurais pas
1818.72 quand on est pris dans un rug on est pas toujours bien placé dans regroupement il suffit qu’il a des mecs qui nous tombent dessus on va sur des amplitudes qui vont
1823.799 être hyper importantes et ça va nous amener sur de la blessure et et moi je suis je je suis persuadé qu’aujourd’hui
1829.08 le rumin doit être mobile c’est indispensable c’est indispensable position qu’ils ont quand ils chut
1834.24 comment on leur tombe dessus et cetera et tout plus tu es raides plus tu rajoutes des facteurs de de blessure c’est clairement et pareil au ski au
1840.679 final les chutes le fait de des ça des fois tu descens un peu trop bas sur tes cars ou quoi si tu le fais jamais ton
1846.6 tendon va chanter ouais mais tu vois par exemple les skieurs moi là-dessus dès qu’on finiss la journée dans il se
1852.279 maient dans le couloir des hôtels il s’est tiré Ilis leur mobilité tous les matins on allait tout sur les skis des
1857.519 fois on devit on était sur les glaciers à 6h du matin donc on se levait cétait 4h15 et ben ils se levaient avant pour faire leur routine de mobilité ils
1863.72 avaient les rouleaux donc avant d’aller déjeuner donc il se c’était ultra professionnel rugby je pense pas qu’
1869.0 trop qu’ a cette culture ah mais rugby si je propose une séance de mobilité je pense que j’ai trois mecs qui viennent
1874.44 au final on avait une question pour savoir qui était les plus pro mais au final ouais mais là-dessus franchement y
1880.039 y a pas il y a pas des après tu as pas le même c’est pas pas le même vivier aussi tu compares le nombre de skieurs que tu avais en équipe de France ils
1885.679 étaient euh ou gà en équipe de France il vont être 40 peut-être 60 en fait avec ceux
1890.799 qui sont potentiellement et alors en club c’est qu’ a tellement quoi c’est 6 7 mecs tu peux peut-être les retourner équipe de France peut-être ces mecs là
1896.799 que tu peux retrouverussi a vraiment la culture du du voilà on est des on est des
1902.48 bonhommes on veut se battre sur le terrain c’est tout quoi tu vois ça reste plus un jeu quoi oui c’est ouais ouais
1908.6 non mais làdessus clairement ben il y a un truc qui fait je pense la grosse différence c’est que je le répète c’est que le skieur en fait c’est je les
1916.0 appelle les pros mais dans le statut en fait il sont amateurs ils ont même pas un statut pro ils sont pas payés par une fédération ils sont payés par des
1921.72 sponsors donc déjà juste ça si tu veux bien vivre il faut que tu sois bon ton corps c’est ton ça t’implique beaucoup
1927.84 plus dans ton dans le processus quoi exactement tu as pas le choix bon c’est un peu comme ce que je trouve avec les nageurs il y a une discipline quand même
1933.639 même si après les les les connaissances ont pas forcément été apportées directement mais mais tu vas pas nager
1939.0 2h le matin de 6 à 8 et après r nager 2h après mais faire une muscu si tu es pas hyper pro si tu as pas fait ta récup et
1945.399 si tu as pas envie surtout donc le mec qui a pas envie ben il arrête alors que rugby ben le mec qui a pas envie mais qui est un peu bon et ben il aura
1951.32 toujours son petit salaire qui peut réussir à tomber et s’en sortir comme ça quoi ouais puis s’il a une période où il est un peu dans il est un peu moins bien
1956.399 il va se cacher derri les autres par le sport co donc s’il est moins bien les autres vont prendre le relais il y a pas de souci quand tu es dans un sport
1961.76 individuel tu es tout seul he face au chrono cétait pas bon on voit que ok du coup on va pouvoir parler du
1967.96 du sujet un peu plus ctiant qu’on avait discuté discuté à table moi je veux savoir qui qui est avant qui est le plus
1973.24 fort en Squad quand même entre les les RMAN et les les skiers il y a match un peu il y a match mat là il y a match
1979.0 parce que si je prends des piliers les piliers Georgiens sont ouais mais ils sont super
1985.08 lourds quoi ils sont fort ceux qui font les mêmes poids plus plus ou moins 15 kg quoi
1991.6 ouais alors globalement si je prends la moyenne des athlètes le skier va être beaucoup plus fort ça c’est une
1997.0 certitude après si je vais chercher un un athlète un rugbyan spécifique les piliers vont des fois tu
2004.88 as des piliers les gauchers qui font 100 105 10 kil qui peuvent être très forts moi les skier j’en avais pas un qui
2011.12 était à moins de 210 kg squat squat complet ça c’était le le minimum syndical et le plus fort il m’a fait
2018.2 45 et en unilatéral il doit être aussi doit y avoir des travail ça doit être ça
2023.279 doit être encore plus impressionnant non beaucoup ouaisouais beaucoup beaucoup beaucoup ouais ouais ça doit être et
2029.039 après ouais après sur rugby après c’est plus les PO de corps qui vont qui vont venir changer le la donne quoi ouais ouais puis après c’est c’est dur de
2035.0 comparer parce que quand je disais tu vois par exemple sur la la du du ski je leur mettais du squat lundi mercredi
2041.84 vendredi donc il avait 6h de de enfin mercredi cétait plus al terro mais voilà en gros on avait 6h orientéement brunf
2049.0 le rugbyan il va avoir 1 heure par semaine le lundi donc c’est si lui se
2054.399 prend pas un peu en main sur les musces un peu optionnels il y a pas vraiment de développement qui va se faire et du coup ça fait la transition est-ce que
2060.44 maintenant tu fais toujours du 1 RM beaucoup du 3 RM du CRM ou alors du coup est-ce que tu vas aller chercher
2066.72 d’autres d’utre technique pour mesurer la puissance la force ouais moi c’est c’est c’est fini du coup je met déjà mes
2073.52 athlètes ils sont jamais à l’échec ça ça arrive jamais on va jamais chercher des RM
2078.8 euh moi je travaille que au VBT aujourd’hui que des accéléromètres même sur les séance de force donc du coup le
2085.04 VBT pour ceux qui qui connaissent pas forcément c’est que tu peux le le l’expliquer le définir assez rapidement et velocity base training c’est tout
2091.679 l’entraînement d’accéléromètre donc ça nous permet de quantifier la puissance de l’athlète par Ben la charge et la
2098.92 vitesse de déplacement de barre donc c’est un petit boîtier avec un fil qui VI s’accrocher à la barre et qui va nous permettre de récolter pas mal de données
2106.0 aujourd’hui la littérature nous a donné pas mal d’informations c’estàd qu’on sait que sur une RM au squat on va être
2112.56 autour des 025 m/se sur un bench press on va être retour des 0,17 0,18 m/se
2118.64 donc c’est-à-dire que même si je veux sur mon groupe d’athlètes je leur dis aujourd’hui on va faire unrm par exemple pour me tester le max je leur demande
2125.56 quand même de de me donner la vitesse de placement de barre parce que ça m’est déjà arrivé que je suis arrivé au début
2131.16 rugby les mecs une RM il me marquaient leur valeur et des placacements de barre par exemple sur un bench à 0,35 m/se
2138.359 sauf qu’on sait que la la littérature nous a dit que c’est 0,17 donc je sais je sais que le mec il avait encore trois res en réser donc il l’a fait à la cou
2144.56 donc c’était pas sa vraie unrm donc derrière j’ai toute la planif que j’aurais mis en place aurait été totalement faussée parce que j’avais une
2150.24 une 3 RM à la place d’une unrm donc maintenant j’utilise que les accéléromètres parce que je sais que à
2155.319 tel pourcentage de son max ça correspond à telle vitesse donc en fait chaque jour ils vont réévaluer leur charge de
2162.24 travail par rapport aux vitesses que je connais et ça me permet de m’adapter moi au mieux à l’état de forme du jour et de
2168.16 l’athlète ok ça du coup dans ski c’était quelque chose que tu avais commencé déjà un peu à mettre en place comme tu nous
2174.52 disais tu travaillais avec Jim Jim ou OK et et après du coup tu as réussi à la
2180.16 mettre dans le rugby comme on discuté 6 athlètes 40 comment tu as pu apporter
2186.2 cette façon de travailler sans ben être perdu dans dans les entraînements ou dans dans la gestion en fait dans la
2191.319 logistique ouais ben ça c’est vrai que ça c’est c’est un truc que j’ai utilisé ça fait depuis 2015 maintenant que je
2196.52 suis dessus donc j’ai pu me faire la main un petit peu avec avec les skilleurs j’ai commencé à me familiariser avec l’outil quand je suis
2201.76 arrivé dans le dans le rugby j’ai encore plus pousser l’utilisation euh au début c’était la peti problème de de
2207.44 logistique quand on a 20 30 mecs à gérer qu’on a quatre accéléromètres C dans la dans la rotation et puis euh forcément
2215.4 je peux pas me me décupler donc il a fallu que je rendre les athlètes autonomes donc il y a eu deux trois séances où je les ai familiarisé avec
2221.72 l’outil aujourd’hui les athlètes ils sont complètement autonomes ils prennent leur outil il prennent leur app enfin
2227.359 j’ai des tablettes donc il viennent rentrer sur la tablette ils savent exactement ce qu’il faut faire ils sont complètement autonomes j’ai même plus à m’occuper d’eux c’est vraiment
2233.359 confortable une fois qu’on a on les a familiarisé avec l’outil c’est du confort derrière ok donc du coup VBT la
2239.88 seule on va dire restriction c’est que techniquement ça doit être le mouvement doit être maîtrisé ouais donc ça après
2246.8 je suppose que que tu as tu reprends les bases et tout après tu avais un groupe de rugby de rugman qui était quand même déjà assez chevonné donc techniquement
2253.839 ça allait plutôt bien mais après ouais en terme de c’est vraiment game changer un petit peu quand même dans dans l’entraînement dans la prise en charge
2259.4 dans la planification et surtout dans la surcharge quoi enfin pour éviter les surcharges les surentraînement c’est choses comme ça quoi ouais ouais mais clairement aujourd’hui c’est vrai que la
2265.359 seule contreindication ça va être un débutant ser à rien avec un débutant qui débarque à la salle de lui faire faire du travail au VBT il y a tellement de
2272.16 choses à faire avant mais une fois qu’on a des athlètes qui commencent un peu à être confirmés clairement un Game changer comme tu dis hein et
2277.48 c’est-à-dire que euh moi je vais quasiment plus faire de travail à la r aujourd’hui on sait que sur les barres
2283.48 qui sont au-dessus de 80 % du max si je gagne
2288.96 0,07 m/se sur ma barre à 80 % ça équivaut à 5 % d’amélioration sur ma
2294.359 unrm donc je peux améliorer ma force sans avoir à me mettre des charges hyper
2300.0 Loures sur le non j’ai pas besoin de tester pour savoir que je suis capable de faire plus plus exactement ou du moment que tu améliores ta vitesse sur
2305.68 ces charges là oua une RM va augmenter sachant que c’est pas des spécialistes de la force donc au final on s’en fiche
2311.119 de prendre le risque d’aller d’aller faire un RM quand on sait qu’on qu’on veut juste être plus fort ouais c’est pas des spécialistes de la force et puis
2317.119 surtout que peut-être que de jours avant ils se sont mis un match où ils ont jou 70 minutes ils ont fait des mêlés ils sont pris des plaquages donc il y a
2322.599 aussi ces contraintes traumatique ben quand le mec il a les cervicales il a fait 12 mêlé qu’il est bloqué des
2327.96 cervicales si je lui demande de se mettre 200 kg sur le dos il va me dire ais tu es tu es bien gentil mais là je
2333.079 su un peu mâché donc le fait de décharger un petit peu là-dessus d’avoir gen de demande toujours d’avoir cette
2338.48 notion de de de d’intention de vitesse de toutes les barres qu’il vont faire c’est moins traumatisant et on arrive quand même à à développer les indices de
2345.079 force 100 m de chargeelour pu en tant que prépa physique c’est c’est c’est c’est un confort de fou parce que bah
2351.079 quand même en général quand il y a des blessés surtout quand c’est quand ça arrive à la muscu et cetera on vous êtes les premiers à vous faire taper dessus
2357.04 quoi ah mais clairement surtout quand c’est des joueurs importants du style si c’est ton ton meilleur joueur ton capitaine qui se bloque le dos à la
2363.52 muscu tu vas voir le Main àur tu lui dis bah là il s’est bloqué le dos tu vas sur la pointe des pieds tu pas trop y aller
2369.599 quand même parce que tu dis je vais prendre une branlée là et c’est vrai que ce travail là nous permet de de limiter
2374.88 un petit peu tout ça puce qu’on arrive ben forcément à à réguler par rapport à l’état de forme donc on prend moins de
2380.04 risque forcément sur la après la la blessure enfin le risque zéro n’existe pas clairement mais c’est vrai que ça va
2386.319 nous aider à limiter ce ce avant il y avait vraiment avant avant ce truc là il y avait vraiment la question de dire bon
2391.44 ok j’aimerais bien qu’il fasse un max mais purée s’il fait le max il se fait mal et du coup peut-être que des fois tu passais à côté de de développement de
2398.04 certaines qualité juste parce que tu avais peur que que les mecs se fassent mal d’ailleurs c’est pour ça ben qu’on voit encore les gars qui font du demi
2403.92 squat du carart de squat et cetera et tout parce qu’ils ont peur de ça ils savent pas utiliser peut-être l’outil ou ou même juste qu’ils connaissent pas les
2409.64 mouvements ouais bien sûr ça non mais ça c’est c’est une certitude c’est que des fois on était frileux parce qu’on avait
2415.16 pas ces feedback là on était frileux d’aller essayer des choses de de de
2420.24 tenter des des planifications parce qu’on avait peur d’amener le l’athlète
2425.76 ou le sportif à la blessure et qu’aujourd’hui on a des feedbacks qui nous permettent de nous mettre des alertes ou pas sur un travail un travail
2432.839 et moi aujourd’hui franchement aujourd’hui avec les outils qu’on a dans la prépa j’ai franchement je suis assez
2440.079 serein dans le travail on a tellement de feedback qui nous permettent de voir est-ce qu’un athlète est en fatigue est-ce qu’il y a des alertes ou pas que
2446.0 c’est assez confortable aujourd’hui de de travailler puis en plus l’avantage c’est que l’athlète il est impliqué 100 % dans les dans dans
2452.24 lesefft il sait qu’il doit maintenir une telle vitesse il va être vraiment dans l’intention dans l’engagement tu PEI
2458.079 réduire coup vole Paris ont fait de séries S on été super bien fait d’aller chercher la ou 4è série forcément alors
2464.319 que quandur é sur un 4 x 3 ou 4 X 8 tu l’aurais peut-être obligé à faire les quatre séries alors que là tu te rends
2469.8 compte maisainant soit il est cramé ou alors il a vraiment bossé ben tu peux dire écoute tu peux passer autre chose ça fait le boulot comme ça c’est ce que
2475.24 je te disais tout à l’heure quand on on est à table tout ce qui est travail de velocity cut l c’estàdire que ça permet
2481.28 de réguler le nombre de répétitions qu’on va faire par série par rapport à la fatigabilité de l’athlète donc pour
2487.72 expliquer un petit peu le le principe c’est-à-dire que sur le travail de puissance il faut pas qu’il y ait une déperdition de vitesse de qui va au-delà
2494.56 de 20 % donc j’ai ma ma REP la plus rapide elle est à à une certaine vitesse
2500.28 je fais mes reps quand la dernière répétition fait 20 % de moins en terme
2505.68 de vitesse que la plus rapide j’ai un signal je m’arrête donc peut-être que sur la série 1 je vais faire 7ette répétitions la série 2 je vais en faire
2512.2 6 Série 3 je vais en faire 5 et peut-être qu’à la série 3 parce que l’athlète est fatigué en faire que trois on est tout temps sur cette notion de
2518.28 vitesse et on bascule pas dans un autre travail et on sera voilà on sera resté vraiment dans ce qu’on est en train de
2523.599 rechercher et c’est ça qui qui rend les choses pertinentes et par rapport à ça du coup tu sais s’il y a tu je suppose
2531.56 que tu tu discutes avec d’autres préparateurs physique et tout est-ce que dans les autres clubs de rugby est-ce que tu sais si c’est quelque chose qui
2537.8 est couramment aussi utilisé ou est-ce que ça reste encore un petit peu frileux par rapport à ça alors c’est quelque
2544.88 chose qui est qui commence à être de plus en plus utilisé parce qu’on a aujourd’hui une jeune génération de prépa qui arrive et
2551.599 qui est sensible à ça euh mais c’est pas encore totalement démocratisé je pense que moins de 50 %
2559.4 des clubs professionnels travaillent de cette manière-l ouais c’est c’est peu ouais c’est encore assez peu et euh
2566.119 ouais voilà c’est encore un petit peu méconnu parce que ça ça ça commence enfin ça commence ça fait quand même 10
2572.24 ans que c’est c’est arrivé mais on est souvent resté sur sur des acquis et et
2578.119 et là on commence à en parler de plus en plus ça commence à prendre de plus en plus de place ça demande aussi quand même après à se former à commencer à
2583.599 apprendre parce que ben tu peux nous en parler un petit peu là tu tu tu nous disais que bon voilà les mouvements du
2589.559 classique le squat le bench le soulev terre tu vas avoir des valeurs de de référence pour savoir dans quelle zone
2594.76 travailler mais tu me disais voilà après sur le front squat sur les mouvements d’altterro c’est un peu plus compliqué et du coup est-ce que tu peux nous
2600.04 parler un petit peu de ce que tu es en train d’essayer de de enfin d’essayer ce que tu es en train de mettre en place par rapport à ton fichier excel T c
2606.04 toutes ces chosesl un peu mais déjà ce qu’ ce qu’il faut savoir avant avant de commencer ça c’est que on a pas mal de
2611.8 de valeurs qu’on va pouvoir récolter ça va être les moyennes est-ce qu’on on va utiliser les moyennes de puissance est-ce qu’on va utiliser les moyennes de
2617.8 puissance sur la ce qu’on appelle mine propulsive vélocité j’ai juste la période de la phase de poussée parce que
2623.24 quand je faire un squat j’ai une phase de d’accélération puis de décélération derrière donc on va avoir soit que
2628.68 l’accélération soit l’ensemble du truc est-ce qu’on prend le pic de puissance le pic de vitesse voilà il y a pas mal
2634.119 déjà de de facteurs à prendre en compte donc ça c’est c’est c’est une première chose euh moi ce que j’utilise le plus
2641.119 c’est le le la moyenne de puissance sur l’ensemble des mouvements ou ça va être
2647.079 un pic sur les mouvements d’altérophilie parce que la problématique sur les mouvements d’altéros c’est la consonante technique donc ça c’est je pense que
2653.359 c’est c’est la limite un petit peu du travail là c’est partir sur un travail de semi-technique et et prendre le pic
2660.119 de puissance d’accord c’est au début je je faisais le la moyenne partir du sol en fait il y avait un tirage qui était
2666.079 précoce il pens c’est qu’un truc c’était tiré comme des anânes ouais ça fussait complètement le mouvement donc le le le
2673.24 test n’avait enfin ou l’exercice n’avait plus trop de sens alors que sur les semi-techniques ça limite un petit peu ce travail là euh et moi ce que je suis
2680.2 en train de de construire aujourd’hui c’est un tableau parce qu’on a beaucoup de littérature sur les mouvements de base comme tu disais on a des des
2685.92 vitesses sur chaque pourcentage mais c’est encore un petit peu trop restreint à mon goût donc j’essaie de construire
2692.359 une base sur membrin membbr sur des mouvements de membrinf membbr Sup et mouvement d’altérophilie pour avoir sur
2698.079 tous les mouvements et tous les pourcentages une vitesse de référence ok donc ça va une sacrée basonée tu me
2704.24 disais que tu avais à peu près s mesures par par mouvement pour avoir quelque chose où tu peux dire bon ben là ça
2710.0 commence à il y a une tendance qui commence à se dessiner sur telelle telle activité sur tel mouvement je peux être dans la puissance la vitesse c’est c’est
2716.48 exactement ça tant que j’ai pas au moins 100 données par mouvement je j’utilise
2721.96 pas je prends pas en compte et après je pense que ça aura une réelle réelle valeur quand je serai autour des des 500
2728.04 ou là ce sera vraiment voilà ça confirmera un peu plus encore voà puisavantage c’est qu’au fur et à mesure
2733.559 ben ça va s’affiner et puis dans 2 ans ça sera encore les mêmes choses et ça va commencer à à accumuler donn les
2739.52 formations qui sont disponibles au marché là-dessus ça t’apprend juste à utiliser à utiliser la machine et après
2746.079 il y a quoi il y a quelques protocoles qui doivent exister si tu cherches à droite à gauche mais c’est c’est c’est peu documenté au final ouais aujourd’hui
2752.24 les gens il l’utilisent et puis c’est tout quoi ouais il y a peu de littérature et puis aujourd’hui enfin la seule littérature qu’on a c’est la littérature anglo-saxone donc si on
2758.119 parle pas anglais déjà on est vite vite en difficulté euh il y a pas trop trop de littérature donc faut aller chercher
2764.0 on nous apprend à faire un profil charge vitesse mais après ce profil là qu’est-ce qu’on en fait une fois qu’on a
2769.04 le profil charge vitesse ok j’ai mon profil mais comment comment je l’utilise qu’est-ce que je mets en place derrière
2774.88 avec les athlètes comment je travaille voilà et je pense qu’il il manque encore un petit peu de de de base de données
2781.359 pour que ce soit vraiment utilisable pour le grand public mais la France compte sur toi parce il y a quelques chanceux qui
2788.079 vont avoir accès un peu à là tu nous disais que tu allais intervenir sur le le le dust métier de la forma à
2793.319 perpignant en vélocité best training d’ailleurs et est-ce qu’après est-ce qu’on peut te mettre dans la sauce un petit peu en disant que que tu aurais
2799.0 envie de de travailler sur de la formation du contenu un petit peu par rapport à ça ouais c’est c’est des idées
2805.319 qui travaillent c’est sûr mais il y a encore un petit peu faut faut proposer une vraie formation avec du vrai contenu
2811.92 et quelque chose de bien fait voilà quand je partirai sur sur ce projet là ce sera quelque chose qui vaudra le cour
2817.72 OK et est-ce qu’on peut quand même te te est-ce que je pense que les gens mettra ton Instagram pour qu’ils puissent te suivre sur les réseaux est-ce que tu as
2825.28 déjà pensé à proposer un peu du mentorat ou des choses comme ça sur ces ce modul est-ce que tu as déjà eu des demandes ou pas sur ces partres ouais j’ai eu des
2831.8 demandes c’est vrai mais jusqu’à présent en fait je je resté focus sur sur mon mode prépa c’est comme par exemple sur
2837.48 les podcasts comme je disais tout à l’heure c’est le premier que je fais aujourd’hui c’est le premier que j’accepte de faire parce que mon temps
2842.52 je me je le destinais complètement à la prépa je prenais pas de d’athlète en parallèle je restais focus sur ce que je
2848.68 faisais et aujourd’hui j’ai envie de m’ouvrir un petit peu plus donc c’est-à-dire que ben là j’ai accepé déjà
2854.2 de venir ici parce que bon on se connaissait déjà et que j’avis envie de partager ce moment avec vous mais
2860.0 peut-être partir sur des mentoras ouvrir un petit peu plus que j’ai développé pendant X années
2866.28 essayer de partager un petit peu plus voilà je vais commencer à le faire dans les années qui vont venir ou sinon vous
2872.079 venez au dust de perpignen et vous pourrez avoir accès à son contenu et en tout cas nous on est client on a hâte ou
2878.319 voilà c’est cool je pense que c’est vraiment comme tu dis c’est comme dis Quentin c’est les formations qui vont
2884.88 vendre c’est sur comment l’utiliser mais vraiment la ok appuyer sur un bouton Start et tout ça je pense tout le monde
2890.4 peut y arriver après avoir les données les revues les toutes ces choses là je pense que le jour où tu arriveras à sortir du contenu comme ça ça sera
2897.0 vraiment c’est c’est un gne de temps voilà tu sais que toi toi tu auras passé 15 ans à faire ça quelqu’un qui a fait
2902.68 ça pendant 15 ans pourquoi toi tu vas te prendre la tête à tout refaire ouais puis il y a aussi la la problématique
2908.28 enfin la problématique c’est que aujourd’hui on a toutes ces données cette base de de vitesse mais que chaque
2913.48 athlète est aussi différent donc après la deuxième étape que je vais avoir ça va être de plus individualisé par
2919.599 rapport au profil de chacun et là ça va être encore une étape au-dessus ça sera le module 2 ça sera le module 2 ça sera
2926.2 le step supplémentaire mais ouais ouais il il y a plein de choses plein de choses à développer et je pense que dans
2931.64 les années à venir il y aura du du du TA c’est l’homme à suivre l’homme à suivre de sur la prépa tion physique quand
2937.799 est-ce que tu as quelque chose à non c’est bon franchement moi j est-ce que tu voulais rajouter quelque chose avant de finir est-ce que tu avais quelque chose à nous dire ou pas de particulier
2944.52 voilà bon rien de particulier non non c’est je pense qu’on a déjà pas mal ben écoutez merci à tous de nous avoir écouté euh super podcast encore une fois
2952.359 intervenant de très haute qualité on a hâte de suivre du coup sur le le travail sur le contenu des formations qui seront
2958.599 à suivre bientôt si vous voulez le retrouver vous aurez son instagram sur sur la page YouTube et nous on le
2964.0 partagera aussi sur le réseau et voilà c’était Jérémy mi et ben merci à toi merci beaucoup merci ciao à bientôt
.

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