Vidéo sur le thème « trail mental preparation » accessible sur YouTube
Une réflexion de Courir Mieux par Cyril Forestier sur « trail mental preparation »
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se concentrant sur « trail mental preparation »:
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Le titre de cette vidéo est [PARTIE 1] ULTRA-MENTAL ! L’abandon en trail et ultra : le mental – Scientific Day, sa durée est de 00:21:42 secondes, et elle a été fournie par l’auteur. La description suit ci-dessous :« 

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MES RESEAUX :









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CHAPITRES :
00:00 Introduction
02:42 Abandon en trail : un problème de distance ?
04:47 Qu’est-ce que le mental ?
06:28 L’abandon en trail, un processus progressif
09:02 Le mental des finishers
13:07 Deux études en ultra-trail, mental et abandons
15:26 Trois états mentaux clés dans l’abandon
17:41 Conclusion ».
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Effets sur la psychologie et le comportement
Sur le plan psychologique, la chasteté peut produire des effets ambivalents. Cependant, elle est considérée dans le contexte de l’effort et du sacrifice requis pour la performance. Pour la plupart des athlètes, l’abstinence est un choix disciplinaire qui renforce la concentration, la motivation et la régularité de leur entraînement. Ce renforcement des comportements peut se traduire par une plus grande assiduité aux séances, une régularité améliorée et une attention accrue à la récupération, autant de facteurs bénéfiques pour la progression. Dans le contexte de la compétition imminente, le retrait des préoccupations sexuelles peut réduire les distractions et favoriser une meilleure gestion des émotions. Néanmoins, l’inverse est également vrai : l’abstinence peut engendrer une frustration ou une pression psychologique supplémentaire qui pourrait être bénéfique pour la performance. Les différences individuelles dépendent du tempérament, des croyances personnelles et du cadre social. Un exemple pratique pertinent est le protocole suivant pour un athlète amateur se préparant à une compétition : prévoir une période test de quatre semaines durant laquelle l’athlète consigne chaque jour son sommeil, son humeur, son RPE et ses performances sur les exercices clés. En analysant ces informations, il est possible de déterminer si la chasteté offre des avantages tant subjectifs qu’objectifs.
Les témoignages d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau illustrent souvent que l’impact est principalement psychologique, ancré dans le ressenti personnel plutôt que dans des processus physiologiques universels.
Des études révèlent un lien significatif entre la chasteté et les performances sportives
La recherche sur l’abstinence sexuelle et son influence sur la performance des athlètes est limitée et souvent marquée par des contradictions. Les études actuelles sont souvent limitées en taille, parfois dépassées, et incluent des groupes hétérogènes (hommes vs femmes, athlètes vs non-athlètes). De nombreuses recherches suggèrent que les fluctuations de testostérone liées à l’activité sexuelle sont souvent faibles et transitoires ; il n’existe pas de preuves solides d’un effet durable sur les performances physiques, tandis que des facteurs psychologiques sont surtout notés chez les hommes. D’autres recherches s’intéressent aux effets psychologiques et comportementaux, mais il est difficile de généraliser les résultats obtenus. Il est crucial de distinguer corrélation et causalité : les gains de performance chez certains athlètes qui s’abstiennent peuvent résulter d’un effet placebo, d’une meilleure récupération, ou de modifications dans leur sommeil et leur alimentation. Dans la réalité, il est recommandé d’adopter une approche sur mesure : si un athlète souhaite expérimenter la chasteté comme outil, il doit le faire dans un cadre structuré, en notant systématiquement les indicateurs clés (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des phases avec et sans abstinence. Les entraîneurs et les professionnels de la santé peuvent aider à analyser les résultats et à éviter des répercussions psychologiques ou physiologiques indésirables. Il est également crucial de noter que des éléments bien établis — comme la nutrition, le sommeil, la surcharge d’entraînement et la périodisation — ont un impact bien plus documenté et significatif sur la performance que toute méthode d’abstinence.
Ce qui est clair, c’est que de nombreux athlètes évoquent des résultats positifs dans leur préparation sportive associés à la chasteté. La chasteté masculine contrôlée est donc une science en pleine évolution, aujourd’hui fondée sur l’expertise des entraîneurs spécialisés et, demain, avec des recherches scientifiques, elle sera intégrée dans la préparation physique.
Éviter les blessures et maximiser la performance
La prévention des blessures demeure un aspect central de toute préparation ; elle s’articule autour de la progressivité, de la technique et de la capacité de récupération. La chasteté ne se présente pas comme un élément déterminant pour diminuer le risque de blessure. Cependant, des effets indirects peuvent se manifester si l’abstinence aide à renforcer la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces aspects favorisent la qualité du travail et préviennent les surcharges. Pour limiter les blessures, il est crucial d’adopter des pratiques telles qu’un échauffement complet, un renforcement ciblé des zones vulnérables, la périodisation des charges et un suivi minutieux du volume et de l’intensité (par exemple, via le RPE ou un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines aident à adapter la charge et à prévenir des augmentations trop rapides.
Pour résumer, la chasteté peut être intégrée comme un levier comportemental secondaire, mais elle ne doit pas remplacer des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation adéquate, suivi nutritionnel et récupération). Elle apporte l’élément essentiel qui permet à un athlète de dépasser ses limites.
Comment mettre en œuvre la chasteté dans un plan d’entraînement
Si un sportif souhaite intégrer la chasteté dans son entraînement, il est vital de la considérer comme un élément complémentaire et non comme une substitution à une préparation physique rigoureuse.
La démarche suggérée est de définir d’abord la durée et l’objectif de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un effet psychologique marqué, ou 2 à 6 semaines pour un essai personnel planifié).
Il est important d’intégrer cette période dans une planification harmonieuse : concevoir des séquences d’entraînement progressives (par exemple, trois à quatre semaines de préparation, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et établir quand insérer la période d’abstinence en fonction des temps de récupération et des pics de charge.
Pour un athlète débutant, un plan de quatre semaines peut servir de protocole d’expérimentation : les semaines 1 et 2 sont consacrées à l’entraînement de base avec trois séances par semaine axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la semaine 3 introduit une intensification avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la semaine 4 est dédiée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les recommandations nutritionnelles doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour, une hydratation adéquate et la consommation d’aliments favorisant la récupération.
Il est conseillé d’inclure la récupération active, comme les étirements et la mobilité, ainsi que des moyens complémentaires tels que la cryothérapie ou le sauna. Il est vital d’identifier les signes d’une stratégie inadaptée : une baisse persistante du bien-être, une irritabilité accrue, des troubles du sommeil ou une diminution des performances justifient une pause dans le protocole et la recherche d’un avis professionnel.
Pour mesurer les effets de façon objective, il est important d’utiliser des indicateurs standardisés : le temps de course sur une distance donnée, le nombre de répétitions à charge constante, les tests de saut ou de force, ainsi que les scores RPE et de sommeil.
L’examen de ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence aidera à déterminer l’efficacité de la méthode pour chaque personne.
L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif
La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive.
Questions courantes sur la chasteté dans le cadre de l’entraînement sportif
Des variations à court terme sont observées, mais elles n’ont pas prouvé d’effet durable sur la force ou la masse musculaire. Peut-on l’utiliser avant une compétition ?
Effectivement, certains athlètes préfèrent s’abstenir avant une épreuve pour des motifs psychologiques et de concentration ; l’impact est personnel et doit être géré par un coach expérimenté.
Quelles variations existent entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?
La préparation physique générale forme le socle de tout sportif : force de base, endurance générale, flexibilité et capacités musculaires transversales indispensables à toute activité sportive. Cette préparation s’effectue généralement en début de cycle ou de semestre pour favoriser la forme globale. La préparation physique spécifique ajuste ensuite cette base aux exigences du sport : exercices imitant les schémas de mouvement, intensités et temps de récupération similaires à ceux de la compétition, intégration du travail technique dans le programme. En application, on évolue d’un bloc général vers des blocs spécifiques pour améliorer le niveau de performance en se concentrant sur les exigences de la spécialité.
La chasteté influence-t-elle les niveaux de testostérone ?
Les recherches actuelles ne permettent pas de conclure à une augmentation significative et durable de la testostérone en lien avec des périodes d’abstinence sexuelle, mais l’observation et l’expérience révèlent un effet important sur la motivation et l’état psychologique.
Cela convient-il aux personnes qui débutent ?
La chasteté peut améliorer la discipline chez certains novices, mais elle ne doit pas se substituer à un programme de préparation physique structuré ; elle doit être mise à l’épreuve sur de courtes périodes et évaluée de manière objective.
Quels sont les meilleurs conseils pour optimiser sa progression en entraînement sportif ?
Soyez discipliné : la constance dans l’entraînement est plus importante que des séances sporadiques et intenses. Concentrez-vous sur la technique des exercices avant d’augmenter les poids pour prévenir les blessures. Appliquez une stratégie de périodisation par blocs : alternez des phases de volume (musculation et endurance) et des phases d’intensité pour stimuler des adaptations. Renforcez votre préparation physique en dehors des séances : assurez-vous d’un sommeil adéquat, d’une nutrition riche en protéines pour la musculation, d’une hydratation suffisante et d’une récupération active. Évaluez et ajustez : tenez un journal d’entraînement, effectuez des tests fréquents et surveillez le RPE. Ajoutez des stages pratiques et des formations pour acquérir les connaissances et compétences nécessaires dans le domaine sportif. En résumé, adaptez toujours la méthode au niveau et à l’expérience du sportif — ce qui est valable pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut différer pour un athlète de haut niveau.
Quelle serait la durée parfaite ?
La durée la plus adaptée est variable : il est conseillé de tester 48 à 72 heures pour un effet immédiat ou 2 à 6 semaines pour un protocole expérimental, tout en suivant la qualité du sommeil, le RPE et les performances.
Comment concevoir un programme d’entraînement qui donne des résultats ?
La première règle est de recourir à un coach qualifié. Ces approches sont le fruit d’observations et d’expériences qui ne peuvent pas être laissées au hasard. Débutez par la définition des objectifs du sportif, qu’ils soient à court ou à long terme, puis évaluez son niveau de départ grâce à des tests physiques et un bilan de ses antécédents. Créez un programme basé sur des blocs périodisés, incluant des phases de préparation générale, des phases spécifiques, et enfin une période d’affûtage avant la compétition. Optez pour des exercices prioritaires (multi-articulaires, musculation ciblée, endurance en fonction du sport) et établissez un plan de progression des charges et des variations d’intensité. Prenez en compte des stratégies de récupération (sommeil, nutrition) et évaluez la progression avec des indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un amateur en licence STAPS, il est crucial de combiner théorie et pratique pour solidifier la méthode. Quelles sont les nuances entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?
Quels sont les objectifs majeurs de l’entraînement sportif ?
L’entraînement sportif a pour but d’améliorer la performance de l’athlète en cultivant les qualités physiques requises pour le sport (force, endurance, vitesse, puissance). Il a aussi pour objectif d’améliorer la préparation physique, tant générale que spécifique, afin de rendre le geste sportif plus efficace et moins énergivore. La prévention des blessures est cruciale : un programme adéquat doit intégrer le renforcement, la mobilité et le travail technique pour protéger le corps. Par ailleurs, l’entraînement joue un rôle clé dans la transformation de la composition corporelle, favorisant le développement de la masse musculaire au détriment de la masse grasse, tout en optimisant la récupération grâce à un sommeil de meilleure qualité et une gestion du stress améliorée. En conclusion, il favorise le développement de compétences tactiques et techniques liées à la spécialité, ce qui rehausse le niveau de jeu ou de performance sur la durée.
Fondements physiologiques de la chasteté dans le cadre de la préparation sportive.
Différents processus physiologiques ont été proposés pour expliquer comment la chasteté pourrait influencer l’entraînement. Le premier d’entre eux concerne les hormones sexuelles, en particulier la testostérone. Des études révèlent une légère hausse aiguë de la testostérone après une courte période d’abstinence, mais ces fluctuations semblent de courte durée et ne permettent pas d’obtenir des gains musculaires ou de performance significatifs sur le long terme. Par contraste, des facteurs tels que l’alimentation, la charge d’entraînement et la qualité du sommeil modulent de manière plus puissante et durable le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un deuxième mécanisme possible est l’économie d’énergie psychologique et comportementale : pour certains individus, l’abstinence pourrait réduire les préoccupations émotionnelles et la dispersion attentionnelle avant des échéances importantes, libérant ainsi de la concentration pour l’entraînement et la compétition. De même, si la chasteté aide à réduire l’anxiété pré-compétitive chez un sportif, elle peut également améliorer indirectement la qualité du sommeil et la récupération, favorisant ainsi l’adaptation. En outre, la périodicité hormonale et la réponse au stress varient d’un individu à l’autre ; certains peuvent avoir une sensibilité particulière entraînant des effets visibles, alors que d’autres ne constateront aucune différence. Dans la réalité, l’impact physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire vient s’ajouter aux méthodes habituelles (progression de la charge, consommation de protéines, récupération).
C’est pourquoi, si la chasteté est envisagée, elle doit être intégrée dans une stratégie globale prenant en compte la gestion des autres aspects de la préparation, tels que la condition physique, le sommeil et le bien-être psychologique. Elle doit être supervisée par un coach dédié, qui n’est pas membre du staff, et qui a un contact exclusif avec le sportif.
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Retranscription des paroles de la vidéo: avant cet épisode j’aimerais vous parler de Wise si vous suivez courir mieux depuis plusieurs mois vous savez que ma collaboration avec cette marque ancienne n’est pas nouvelle utilisateur de leurs produits depuis longtemps et à travers de nombreuses aventures comme ma traversée des SEP merveilles de Chartreuse j’ai aujourd’hui le plaisir de vous en parler en tant que partenaire de cet épisode depuis 2019 wise m’impressionne par leurs engagements écologique fort et leur circuit de production court entre France Italie et Portugal tout ça sent le moin moindre compromis sur la technicité de leur produit qui atteint toujours des sommets j’adore par exemple leur veste imperméable black shell 3 qui me protège en montagne quand les conditions se dégradent et leur short charp à Max dont le portage me permet d’emmener tout ce dont j’ai besoin durant mes trails je vous invite à parcourir leurs produits sur le site wiseetrailrunning.com vous ne serez pas déçu allez place à l’épisode bonjour à tous j’espère que vous allez bien je suis ravi de vous retrouver pour un nouvel épisode dans ce scientificque Day nous allons parler de l’abandon en trail et en ultra trail et plus précisément nous allons nous concentrer sur certaines causes de ces DNF à savoir celles relative au mental l’abandon est une décision complexe au croisement de nombreux facteurs certains plutôt physiques ou physiologique et d’autres plutôt psychologique ou mentaux dans cet épisode je vous propose d’aller creuser ces derniers et de discuter malgré le peu de preuves dont nous disposons de ce qui pourrait favoriser ou au contraire prévenir les abandons d’un point de vue psychologique à après ce scientific day vous saurez reconnaître certaines étapes certains schémas de pensée qui peuvent pendant une course de trail ou d’ultra trail pousser à l’abandon vous aurez aussi en main quelques éléments qui a priori avant le départ peuvent diminuer vos chances de venir à bout du challenge qui vous attend allez c’est parti pour l’épisode d’aujourd’hui ultra mental partie 1 DNF did not finish ces trois lettres sont régulièrement partagées sur les réseaux elles accompagnent la décision de la part d’un athlète mais aussi plus rarement de l’organisation de stopper une compétition de trail l’abandon en trail est un problème complexe loin de moi l’idée dans cet épisode de le simplifier et de nourrir l’illusion qu’il s’agit uniquement d’un problème de mental différents travaux dans la littérature ont d’ailleurs essayer de comprendre ce dernier en trail mais aussi dans d’autres sports par exemple le fameux modèle de la chasse d’eau de Guillaume met est un des modèles contemporains les plus aboutis sur le sujet il propose que différents facteurs s’entrecroisent et agisse dans le développement de la fatigue jusqu’à un seuil qui une fois dépassé favorise l’abandon bref l’abandon durant une course de trail ou d’ultra est multifactoriel et il est important de garder cela en tête il est également intéressant de noter que les pourcentages d’abandon en trail ne sont pas les mêmes selon les distances je vous propose ici quelques chiffres sur l’occc 2023 55 km et 3000 m 5 % d’abandon césinal 2023 31 km et 2200 m 9 % d’abandon le marathon du Mont Blanc en 2023 42 km et 2500 m 10 %. la CCC 2023 100 km et 6100 m 26 %. la Diagonale des Fous 2023 170 km et 10500 m 26 % d’abandon l’UTMB 2023 170 km et 10000 M 35 % d’abandon la TDS 2023 145 et 9100 m 40 % d’abandon l’ultra tour du beau Fortin 114 km et 7200 m 41 % d’abandon et enfin l’utekam 100 73 km et 11500 m 45 % d’abandon quand on entend ces chiffres on peut déjà se rendre compte que toutes les distances ne semblent pas à priori amené au même taux d’abandon dans cet épisode je vous propose de nous recentrer sur une bulle de facteurs favorisant les abandons ou au contraire les prévenants celle relative au mental ou à la psychologie car oui la performance et son arrêt sont en grande partie lié à la psychologie bien que cet aspect soit régulièrement sous-estimé est-ce qu’il est possible d’identifier à priori dans la psychologie d’un participant ou d’une participante des caractéristiques favorisant l’abandon pendant une course pendant un événement est-ce que les personnes qui abandonnent et celles qui n’abandonnent pas vivent les mêmes expériences mentales sinon peut-on intervenir sur ces facteurs mentaux ces dernières années plusieurs articles scientifiques se sont intéressés à ces questions il y en a peu certes certains sont publiés dans des revues de bonne qualité d’autres dans des journaux questionnables c’est un en fait cependant en l’état il s’agit des seules preuves dont nous disposons aussi je vous propose de nous contenter de la littérature disponible et vous allez voir que malgré tout certaines pistes intéressantes à discuter se dégagent déjà mais avant de commencer je voudrais répondre à une question précisément j’aimerais clarifier un point qu’est-ce que le mental et malheureusement je n’ai pas de réponse précise personnellement je considère que le mental renvoie à toutes les caractéristiques psychologiques et cognitives d’un individu par exemple la personnalité renvoie au mental notre capacité cognitive d’inhibition ou notre mémoire à court terme renvoie au mental cependant le mental fait référence à des concepts précis des chercheurs et chercheuses en psychologie du sport et en psychologie de manière générale ses vertus depuis des années à clarifier ce qu’est le mental les dimensions qui le constituent sont nombreuses et variées et parfois difficiles à déterminer car elle ne s’observve pas avec un microscope ou un capteur sur un muscle par exemple cependant le mental entre guillemets n’est pas une espèce de valise que nous pouvons remplir de notre imaginaire pourquoi ces lignes introductives pour proposer un premier stop à l’utilisation du terme mental de manière imprécise il est courant de lire des phrases comme cette séance améliore le mental cet entraînement sert au corps et au mental cette course demande du mental ces phrases ne veulent à mon sens rien dire elles cachent le fait que leur annonceur ne sait probablement pas ce que l’entraînement la séance ou la course en question demande réellement ni ce ok est entre guillemets le mental dans la suite de cet épisode nous allons parler du mental mais avec des termes précis j’espère que cette introduction vous aidera à y voir plus clair dans ce qu’est le mental et à détecter les messages qui en parlent sans savoir qu’il est en fait constitué de dimensions précise identifié depuis des années et différentes les unes des autres vous ne diriez pas cet entraînement améliore mon corps n’est-ce pas alors accordons à la psychologie le même niveau de précision qu’on attribue à la physiologie une première étude que je trouve intéressante à discuter dans cet épisode est celle qualitative c’est-à-dire sans analyse statistique de philippé etal en 2016 ces chercheurs ont évaluer si la décision de l’abandon pendant une course était quelque chose d’immédiat une bascule entre un moment et un autre moment ou plutôt un processus qui s’installait progressivement et se développa au fil des kilomètres pour cela ils ont échangé avec 10 athlètes ayant abandonné durant la diagonale des fou 2014 ces entretiens avaient lieu entre 1 et 3 jours après l’abandon et les participants avaient d’abord un moment avec avec la carte du tracé et des photos pour se remémorer le parcours et ce qu’ils ont vécu puis ils échangeaient avec un membre de l’équipe de recherche leurs analyses ont permis d’identifier entre C et six étapes consécutives menant à l’abandon la première serait une phase d’apparition de problèmes ou de douleurs comme des troubles digestifs ou des douleurs musculaires à la course la deuxième phase est une phase de conscientisation de ces derniers durant celle-ci les personnes cherchent des causes à ces problèmes s’ensuit chez la plupart des participant une phase d’adaptation de la façon de se déplacer de courir pour limiter ses problèmes après les athlètes rapportent entrer dans une phase de recherche de solution plus large comme par exemple faire une pause dormir pour que ces troubles diminuent ils et elles rentreraient ensuite dans une phase d’interaction avec autrui soit positive par exemple de la recherche de soutien soit négative par exemple s’effondrer auprès d’un proche enfin les athlètes passeraient par une dernière étape de réévaluation de la situation associée au premier hésitations plus concrètes d’abandon à l’issue de ces étapes plus ou moins vécu par toutes les personnes ayant abandonné ils et elles prendrait la décision de l’abandon selon ces auteurs savoir que les personnes qui abandonnent passent souvent par ces CIN ou six étapes différentes est cruciale cela permettrait pour eux de reconnaître ces étapes si elles les vivent et donc de réagir de manière positive et efficace connaître ces étapes peut également amener un athlète à échanger avec un préparateur ou une préparatrice mentale pour savoir réagir de la meilleure manière possible en 2017 cette même équipe a cherché à confirmer ses résultats et ce processus en 5in ou six étapes menant à l’abandon dans cette nouvelle étude leurs résultats vont globalement dans la même direction que ceux de leurs papi de 2016 cependant leur nouvelle publication est dans un journal dit prédateur c’est-à-dire identifié comme adoptant de mauvaises pratiques scientifiques et donc peu fiable aussi je ne discuterai pas plus que cela cette réplication en attendant la la publication d’un article assez robuste pour être considéré la revue de littérature de thton et h en 2023 a abordé la question différemment plutôt que de se demander ce que vivent les personnes qui abandonnent ces auteurs se sont intéressés aux caractéristiques psychologiques des finishur c’est-à-dire ceux qui n’abandonnent pas leur but était d’identifier si des traits distinctifs sont repérables chez des athlètes ayant fini versus d’autres ayant abandonn pour cela les auteurs ont réalisé une revue de littérature qui a identifié 49 études intéressantes à disc ces articles évaluaient simplement si certaines caractéristiques psychologiques généralement mesurées par questionnaire étaient corrélé à la réussite c’est-à-dire au finish d’ultra trail premièrement leur analyse de la littérature a révélé que l’autoefficacité était associée à la réussite en trail l’autoefficacité et la croyance d’une personne dans sa capacité à accomplir une tâche comme courir un Ultra Trail similairement la dimension psychologique appelée la force mentale mental thogness en version originale et était elle aussi corrélée à la performance en tril elle représente la capacité à persévérer dans une tâche comme une performance malgré le stress la pression les difficultés et cetera ensuite les odeurs soulignent presque sans surprise l’importance de la motivation pour réussir en tril il me faudrait un épisode entier pour discuter de cette motivation car si ce terme est souvent utilisé dans tous les sens en psychologie du sport la motivation est un concept clairement défini pour faire simple ici quand on parle de motivation associée à la performance on parle de la qualité de la motivation et non de sa quantité un terme parfois entendu dans différents médias et pourquoi un individu court la motivation renvoie en effet aux raisons qui poussent à réaliser un comportement comme par exemple courir un Ultra Trail il y a des motivations protectrices qui favorisent la performance et d’autres moins bénéfiques par exemple un individu qui s’engage dans une compétition d’ultra trail parce qu’il aime intrinsèquement cet effort ou car par exemple exemple il considère qu’évoluer longtemps en nature est une part de son identité le défin en tant qu’individu aura certainement plus de chance de terminer une épreuve de ce type qu’une personne inscrite sur la même épreuve parce que son entourage l’y a poussé ou pour la médaille de finisher petite pause si ce scientifique d vous plaît je vous invite à aimer la vidéo la commenter la partager et vous abonner à ma chaîne en activant les notifications pour ne rater aucune de mes publications je vous invite aussi à rejoindre cour sur ces autres réseaux comme Instagram et le podcast disponible sur toutes les plateformes d’écoute vous pouvez aussi vous rendre sur le site courirmieux.fr ou vous retrouverez l’article associé à cet épisode et toutes les études scientifiques citées enfin vous pouvez soutenir courir mieux et rejoindre sa communauté de passionnés de trail et de course à pied sur patreon les différents abonnements proposés vous donnent accès à de nombreux avantages à des contenus exclusifs et à la possibilité de poser vos questions à mes invités le lien vers les offres est dans la description allez on retourne à l’épisode ensuite l’intelligence émotionnelle fait référence aux capacités de perception de traitement de régulation et d’utilisation des informations émotionnelles d’un individu Torton etal en 2023 résume qu’à travers différentes études en trail les personnes avec une haute intelligence émotionnelle étaient meilleures à gérer les situations difficiles ces dernières démontraient de plus grandes capacité à s’adapter au stress à réagir aux imprévus à faire preuve de résilience ou encore a réévaluer les situations négatives en quelque chose de positif de manière comparable des études ont souligné que des finishurs avaient régulièrement une stabilité émotionnelle plus prononcée que des personnes ayant abandonné la stabilité émotionnelle est la fréquence de changement d’humeur ou d’émotion pendant une course par exemple elle peut-être élevée c’est-à-dire forte instabilité émotionnelle ou basse c’est-à-dire faible instabilité émotionnelle des travaux ont montré que les athlètes avec une meilleure stabilité émotionnelle per performer mieux que ceux avec une faible stabilité émotionnelle cette grande stabilité s’atteindrait avec l’expérience mais aussi avec de la préparation mentale il est intéressant de noter que ces résultats ont été confirmés en contexte réel par exemple l’étude de corional en 2018 confirme ses résultats à travers un large panel de traileus et de trailers précisément 96 finishers et 125 non finishur de l’ultra trail Côte d’Azure Mercantour 140 km et 10000 m à l’époque ont répondu à avant le départ à un questionnaire mesurant différentes caractéristiques psychologiques leurs premières analyses ont montré que les finishers avaient avant la course de plus haut niveau d’autoefficacité d’intention de terminer la course et de meilleures stratégies de gestion des moments difficiles que les non finisherss par exemple ces derniers avaient plus de stratégies de gestion des problèmes dites d’évitement par exemple utilisation de substances d’aide ou autoculpabilisation comparativement au finisher de plus leurs analyses ont montré que la probabilité de finir la course était significativement plus élevée quand l’autoefficacité était haute l’intention de finir était haute les stratégies de gestion des moments difficiles par le soutien social donc par exemple la recherche de soutien affectif étaient hautes et les buts étaient orientés vers la maîtrise c’est-à-dire des comparaisons de ses performances à soi-même et non des comparaisons aux autres l’étude de mendz Alonso et collaborateur en 2021 est similaire à la précédente mais publiée dans une revue dite prédatrice c’est-à-dire là aussi de mauvaise qualité et avec de mauvaises pratiques scientifiques néanmoins ces résultats vont eux aussi dans la même direction après la traversera intégrale picos 76 km et 7200 m 148 finishers et 133 non finishurs ont rempli un questionnaire mesurant différentes dimensions psychologiques les analyses ont montré que comparativement au non finishurs les finishers avaiit un plus haut niveau de force mentale de résilience et de passion harmonieuse la passion harmonieuse entre guillemets est une dimension psychologique proche de la motivation elle reflète une tendance à pratiquer une activité pour elle-même ou pour soi-même en tant qu’individu ou encore pour le plaisir qu’on retrouve dans l’activité et non pour d’autres facteurs comme l’entourage le rayonnement social ou encore la popularité de haut niveau de passion harmonieuse serait aussi lié à plus de comparaison à ses propres performances à soi-même et à moins de comparaison à autrui en 2019 Rocha et al se sont inessé à trois états affectifs pour vulgariser trois émotions trois sentiments en particulier ces auteurs parlent précisément d’état de vitalité mais la terminologie ici importe peu ces états mentaux sont ceux de préservation qui renvoi à des moments où les pensées des coureuses et des coureurs sont orienté vers la protection de soi de son allure ou de son énergie par exemple avec un rythme contrôlé ou ralenti ou le choix par exemple de ne pas poursuivre un concurrent devant dans le but final de ne pas s’épuiser on retrouve ensuite les états de revitalisation ils font référence à des moments où l’athlète a des pensées orientées vers la compétition l’amélioration de la performance cela peut se traduire par une accélération du rythme le dépassement d’autres coureurs ou encore une sensation d’énergie et enfin on retrouve les états de défaite il renvoie à des moments où les pensées sont tournées vers les difficultés les douleurs et est associé à de mauvaises sensations un ralentissement considérable ou encore des inquiétudes en interrogeant 13 personnes dont h participants de la Diagonale des Fous quatre du Trail des Bourbons et un de la masquearaigne et au total SEP personnes ayant abandonné les auteurs ont pu mettre en lumière des résultats intéressants tout d’abord leurs analyses ont montré que comparativement au non finicheur les finishurs avaient vécu significativement plus d’État maux de préservation et moins d’État maux de défaite ils avaient cependant vécu un nombre similaire de moments de revitalisation enfin au fur et à mesure que la course avancéit les non finisheurs vivaient de moins en moins d’états de préservation et de plus en plus d’états affectif de défaite un dernier point intéressant que ce papier soulligne concerne la façon que ces athlètes avaient de réagir à ses états affectifs en analysant le discours des personnees les auteurs ont montré que les finisherss réagissaient plus positivement aux états affectifs de défaite que les non finisherss par exemple en cas de trouble gastrique les finishurs réagissaient plutôt en adaptant l’allure et l’alimentation et les non finicheurs en espérant qu’il passe de même en cas de douleur musculaire les finicheurs cherchaient plutôt à courir de manière plus économique alors que les non finicheurs cherchaient plutôt à maintenir leur allure en conclusion la question des facteurs qui poussent une personne à abandonner ou à persévérer durant un trail est vaste tout d’abord il est important de noter que les abandons semblent plus fréquents dans les trails de longue distance et dans les Ultra Trail que dans les trails courts ensuite il est important de rappeler que la littérature et peu fourni sur le sujet peu d’études se sont intéressé aux capacités et aux expériences mentales favorisant ou protégeant l’abandon en Ultra trade néanmoins parmi les études existantes des premières tendances émergent tout d’abord il semblerait que l’autoefficacité soit sa croyance dans ses capacités individuelles à réaliser un Ultra Trail soit associé à moins de risque d’abandon ensuite la force mentale soit la capacité à persévérer malgré les difficultés semble ell aussi protectrice des DNF tout comme une haute intention de finir de plus une motivation à la pratique orientée vers l’activité elle-même et vers soi-même par exemple la comparaison à soi-même à ses propres temps semble aussi plus bénéfique pour finir un ultra qu’une motivation orientée vers les autres vers le social ou vers des récompense enfin il est important de noter que plusieurs études soulignent l’importance de savoir réagir efficacement au moments difficile comparativement au non finishurs les finishurs semblent utiliser des stratégies mentales plus positive comme l’adaptation de son allure la focalisation sur le positif l’adaptation de l’objectif ou encore la recherche de soutien auprès de ses proches de même il est intéressant de noter le rôle que semble jouer la stabilité émotionnelle dans l’atteinre des objectifs les finishur semblent plus à même de lisser leurs émotions comme on lisserait une allure durant une course la question naturelle qui peut découler de cette épisode concerne comment améliorer son mental en trail en effet identifier les meilleurs outils pour prévenir les abandons est une première étape intéressante encore faut-il les utiliser dans le cadre de l’amélioration de nos capacités physiques il me semble naturel de penser que si nous voulons vraiment voir des résultats il faut faire appel à un professionnel comme par exemple le coaching sportif que courir mieux propose dans le cadre du mental ma réflexion sera exactement la même avec ce qu’on soulligne dans cet épisode certaines bases peuvent certainement être travailler seul cependant si le besoin s’en fait sentir si un capâ doit être dépassé je pense qu’il faut faire appel à un ou une professionnel cependant le titre de préparateur mental ou préparatrice mentale n’est pas protégé c’est-à-dire que n’importe qui avec n’importe quelle formation ou voire même pas de formation peut se prétendre préparateur mental ou préparatrice mentale aussi je vous conseille d’être très vigilant et vigilante dans le choix du ou de la professionnelle heureusement la société française de psychologie du sport la SFPS réalise à ce jour un travail considérable pour discerner les vrais professionnels des charlatans aussi je vous invite si vous cherchez quelqu’un à vous tourner vers une des personnes que ce réseau a identifié le lien vers la liste des professionnels identifiés est en description de cet épisode voilà c’est tout pour l’épisode d’aujourd’hui j’espère que son contenu vous a plu et vous aidera à identifier certaines caractéristiques psychologiques qui avant une course de trail ou d’ultra trail ou pendant une épreuve peuvent progressivement vous pousser à prendre la décision d’abandonner encore une fois la psychologie n’est pas le seul déterminant de l’abandon et ces derniers sont nombreux mais ici nous avons déjà pu éclaircir ce relatif au mental j’ai hâte de vous présenter la partie 2 de cet épisode avec mon invité experte de la thématique lur Fernandez chercheuse à l’Université exmarseille lor est aussi préparatrice mentale elle intervient avec des sportives et des sportives d’endurance de trail d’ultratrail ou encore de triathlon par exemple dans notre échange nous reviendrons sur ces causes mentales de l’abandon mais aussi sur comment y réagir efficacement pour essayer de les éviter à très bientôt pour un nouvel épisode et n’oubliez pas que selon Edward Deming sans donner à l’appui nous ne sommes qu’une personne de plus avec une opinion .

Déroulement de la vidéo:
0.76 avant cet épisode j’aimerais vous parler
2.56 de Wise si vous suivez courir mieux
4.88 depuis plusieurs mois vous savez que ma
6.68 collaboration avec cette marque ancienne
8.92 n’est pas nouvelle utilisateur de leurs
10.92 produits depuis longtemps et à travers
12.84 de nombreuses aventures comme ma
14.48 traversée des SEP merveilles de
15.839 Chartreuse j’ai aujourd’hui le plaisir
17.8 de vous en parler en tant que partenaire
19.56 de cet épisode depuis 2019 wise
22.279 m’impressionne par leurs engagements
24.0 écologique fort et leur circuit de
25.88 production court entre France Italie et
28.279 Portugal tout ça sent le moin moindre
30.359 compromis sur la technicité de leur
32.0 produit qui atteint toujours des sommets
33.96 j’adore par exemple leur veste
35.52 imperméable black shell 3 qui me protège
38.04 en montagne quand les conditions se
39.399 dégradent et leur short charp à Max dont
41.84 le portage me permet d’emmener tout ce
43.48 dont j’ai besoin durant mes trails je
45.32 vous invite à parcourir leurs produits
47.16 sur le site
48.8 wiseetrailrunning.com vous ne serez pas
50.48 déçu allez place à l’épisode bonjour à
53.719 tous j’espère que vous allez bien je
55.559 suis ravi de vous retrouver pour un
56.96 nouvel épisode dans ce scientificque Day
59.199 nous allons parler de l’abandon en trail
61.16 et en ultra trail et plus précisément
63.48 nous allons nous concentrer sur
65.04 certaines causes de ces DNF à savoir
67.32 celles relative au mental l’abandon est
69.56 une décision complexe au croisement de
71.479 nombreux facteurs certains plutôt
73.24 physiques ou physiologique et d’autres
75.56 plutôt psychologique ou mentaux dans cet
77.68 épisode je vous propose d’aller creuser
79.72 ces derniers et de discuter malgré le
82.159 peu de preuves dont nous disposons de ce
84.56 qui pourrait favoriser ou au contraire
86.439 prévenir les abandons d’un point de vue
88.84 psychologique à après ce scientific day
91.119 vous saurez reconnaître certaines étapes
93.32 certains schémas de pensée qui peuvent
95.56 pendant une course de trail ou d’ultra
97.399 trail pousser à l’abandon vous aurez
99.439 aussi en main quelques éléments qui a
101.6 priori avant le départ peuvent diminuer
104.04 vos chances de venir à bout du challenge
106.04 qui vous attend allez c’est parti pour
108.159 l’épisode d’aujourd’hui ultra mental
110.52 partie 1
111.799 DNF did not finish ces trois lettres
115.119 sont régulièrement partagées sur les
116.84 réseaux elles accompagnent la décision
118.799 de la part d’un athlète mais aussi plus
120.88 rarement de l’organisation de stopper
123.28 une compétition de trail l’abandon en
125.24 trail est un problème complexe loin de
127.32 moi l’idée dans cet épisode de le
129.319 simplifier et de nourrir l’illusion
131.2 qu’il s’agit uniquement d’un problème de
133.08 mental différents travaux dans la
134.8 littérature ont d’ailleurs essayer de
136.68 comprendre ce dernier en trail mais
138.599 aussi dans d’autres sports par exemple
140.519 le fameux modèle de la chasse d’eau de
142.239 Guillaume met est un des modèles
144.04 contemporains les plus aboutis sur le
145.84 sujet il propose que différents facteurs
148.319 s’entrecroisent et agisse dans le
150.64 développement de la fatigue jusqu’à un
152.56 seuil qui une fois dépassé favorise
155.2 l’abandon bref l’abandon durant une
157.239 course de trail ou d’ultra est
158.92 multifactoriel et il est important de
160.879 garder cela en tête il est également
162.599 intéressant de noter que les
164.0 pourcentages d’abandon en trail ne sont
166.239 pas les mêmes selon les distances je
168.04 vous propose ici quelques chiffres sur
169.76 l’occc 2023 55 km et 3000 m 5 %
173.72 d’abandon césinal 2023 31 km et 2200 m 9
178.08 % d’abandon le marathon du Mont Blanc en
179.92 2023 42 km et 2500 m 10 %. la CCC 2023
184.879 100 km et 6100 m 26 %. la Diagonale des
188.319 Fous 2023 170 km et 10500 m 26 %
192.319 d’abandon l’UTMB 2023 170 km et 10000 M
196.48 35 % d’abandon la TDS 2023 145 et 9100 m
201.0 40 % d’abandon l’ultra tour du beau
203.799 Fortin 114 km et 7200 m 41 % d’abandon
207.92 et enfin l’utekam 100 73 km et 11500 m
212.519 45 % d’abandon quand on entend ces
215.04 chiffres on peut déjà se rendre compte
217.239 que toutes les distances ne semblent pas
219.319 à priori amené au même taux d’abandon
222.239 dans cet épisode je vous propose de nous
224.28 recentrer sur une bulle de facteurs
226.799 favorisant les abandons ou au contraire
228.599 les prévenants celle relative au mental
231.12 ou à la psychologie car oui la
233.079 performance et son arrêt sont en grande
235.2 partie lié à la psychologie bien que cet
237.4 aspect soit régulièrement sous-estimé
239.76 est-ce qu’il est possible d’identifier à
241.72 priori dans la psychologie d’un
243.239 participant ou d’une participante des
245.56 caractéristiques favorisant l’abandon
248.0 pendant une course pendant un événement
250.0 est-ce que les personnes qui abandonnent
251.799 et celles qui n’abandonnent pas vivent
253.72 les mêmes expériences mentales sinon
256.079 peut-on intervenir sur ces facteurs
257.759 mentaux ces dernières années plusieurs
260.04 articles scientifiques se sont
261.56 intéressés à ces questions il y en a peu
263.96 certes certains sont publiés dans des
266.24 revues de bonne qualité d’autres dans
268.04 des journaux questionnables c’est un en
269.8 fait cependant en l’état il s’agit des
272.44 seules preuves dont nous disposons aussi
274.639 je vous propose de nous contenter de la
276.52 littérature disponible et vous allez
278.52 voir que malgré tout certaines pistes
280.8 intéressantes à discuter se dégagent
282.759 déjà mais avant de commencer je voudrais
284.56 répondre à une question précisément
286.12 j’aimerais clarifier un point qu’est-ce
288.0 que le mental et malheureusement je n’ai
289.919 pas de réponse précise personnellement
292.199 je considère que le mental renvoie à
294.32 toutes les caractéristiques
295.72 psychologiques et cognitives d’un
297.56 individu par exemple la personnalité
299.8 renvoie au mental notre capacité
301.479 cognitive d’inhibition ou notre mémoire
303.72 à court terme renvoie au mental
305.479 cependant le mental fait référence à des
308.199 concepts précis des chercheurs et
310.0 chercheuses en psychologie du sport et
311.6 en psychologie de manière générale ses
313.759 vertus depuis des années à clarifier ce
316.039 qu’est le mental les dimensions qui le
318.0 constituent sont nombreuses et variées
319.96 et parfois difficiles à déterminer car
322.28 elle ne s’observve pas avec un
324.16 microscope ou un capteur sur un muscle
326.68 par exemple cependant le mental entre
328.72 guillemets n’est pas une espèce de
330.4 valise que nous pouvons remplir de notre
332.479 imaginaire pourquoi ces lignes
334.039 introductives pour proposer un premier
336.36 stop à l’utilisation du terme mental de
339.199 manière imprécise il est courant de lire
341.56 des phrases comme cette séance améliore
343.68 le mental cet entraînement sert au corps
345.96 et au mental cette course demande du
348.0 mental ces phrases ne veulent à mon sens
350.36 rien dire elles cachent le fait que leur
352.4 annonceur ne sait probablement pas ce
354.4 que l’entraînement la séance ou la
356.479 course en question demande réellement ni
359.36 ce ok est entre guillemets le mental
361.4 dans la suite de cet épisode nous allons
363.16 parler du mental mais avec des termes
365.12 précis j’espère que cette introduction
367.12 vous aidera à y voir plus clair dans ce
369.039 qu’est le mental et à détecter les
371.16 messages qui en parlent sans savoir
372.639 qu’il est en fait constitué de
374.919 dimensions précise identifié depuis des
377.759 années et différentes les unes des
379.4 autres vous ne diriez pas cet
381.0 entraînement améliore mon corps n’est-ce
382.759 pas alors accordons à la psychologie le
385.28 même niveau de précision qu’on attribue
387.4 à la physiologie une première étude que
389.24 je trouve intéressante à discuter dans
390.96 cet épisode est celle qualitative
393.08 c’est-à-dire sans analyse statistique de
395.16 philippé etal en 2016 ces chercheurs ont
397.639 évaluer si la décision de l’abandon
399.639 pendant une course était quelque chose
401.199 d’immédiat une bascule entre un moment
403.56 et un autre moment ou plutôt un
405.36 processus qui s’installait
406.919 progressivement et se développa au fil
408.88 des kilomètres pour cela ils ont échangé
410.72 avec 10 athlètes ayant abandonné durant
412.84 la diagonale des fou 2014 ces entretiens
415.28 avaient lieu entre 1 et 3 jours après
416.96 l’abandon et les participants avaient
418.68 d’abord un moment avec avec la carte du
420.199 tracé et des photos pour se remémorer le
422.8 parcours et ce qu’ils ont vécu puis ils
425.479 échangeaient avec un membre de l’équipe
427.16 de recherche leurs analyses ont permis
429.28 d’identifier entre C et six étapes
431.72 consécutives menant à l’abandon la
433.879 première serait une phase d’apparition
435.759 de problèmes ou de douleurs comme des
437.56 troubles digestifs ou des douleurs
439.28 musculaires à la course la deuxième
441.0 phase est une phase de conscientisation
443.0 de ces derniers durant celle-ci les
445.24 personnes cherchent des causes à ces
447.199 problèmes s’ensuit chez la plupart des
449.56 participant une phase d’adaptation de la
451.56 façon de se déplacer de courir pour
453.68 limiter ses problèmes après les athlètes
456.44 rapportent entrer dans une phase de
458.24 recherche de solution plus large comme
460.16 par exemple faire une pause dormir pour
462.4 que ces troubles diminuent ils et elles
464.68 rentreraient ensuite dans une phase
466.28 d’interaction avec autrui soit positive
468.879 par exemple de la recherche de soutien
470.479 soit négative par exemple s’effondrer
472.44 auprès d’un proche enfin les athlètes
474.52 passeraient par une dernière étape de
476.4 réévaluation de la situation associée au
479.12 premier hésitations plus concrètes
481.08 d’abandon à l’issue de ces étapes plus
483.44 ou moins vécu par toutes les personnes
485.28 ayant abandonné ils et elles prendrait
487.8 la décision de l’abandon selon ces
489.8 auteurs savoir que les personnes qui
491.759 abandonnent passent souvent par ces CIN
493.72 ou six étapes différentes est cruciale
495.84 cela permettrait pour eux de reconnaître
498.199 ces étapes si elles les vivent et donc
500.319 de réagir de manière positive et
502.36 efficace connaître ces étapes peut
504.319 également amener un athlète à échanger
506.319 avec un préparateur ou une préparatrice
508.12 mentale pour savoir réagir de la
510.44 meilleure manière possible en 2017 cette
513.479 même équipe a cherché à confirmer ses
515.8 résultats et ce processus en 5in ou six
518.039 étapes menant à l’abandon dans cette
519.88 nouvelle étude leurs résultats vont
521.719 globalement dans la même direction que
523.479 ceux de leurs papi de 2016 cependant
525.92 leur nouvelle publication est dans un
527.92 journal dit prédateur c’est-à-dire
530.2 identifié comme adoptant de mauvaises
532.36 pratiques scientifiques et donc peu
534.44 fiable aussi je ne discuterai pas plus
537.0 que cela cette réplication en attendant
539.2 la la publication d’un article assez
541.16 robuste pour être considéré la revue de
543.24 littérature de thton et h en 2023 a
546.56 abordé la question différemment plutôt
548.72 que de se demander ce que vivent les
550.279 personnes qui abandonnent ces auteurs se
552.399 sont intéressés aux caractéristiques
554.44 psychologiques des finishur c’est-à-dire
556.2 ceux qui n’abandonnent pas leur but
557.519 était d’identifier si des traits
559.36 distinctifs sont repérables chez des
561.0 athlètes ayant fini versus d’autres
562.88 ayant abandonn pour cela les auteurs ont
564.88 réalisé une revue de littérature qui a
566.92 identifié 49 études intéressantes à disc
569.76 ces articles évaluaient simplement si
571.72 certaines caractéristiques
573.04 psychologiques généralement mesurées par
575.079 questionnaire étaient corrélé à la
577.2 réussite c’est-à-dire au finish d’ultra
579.36 trail premièrement leur analyse de la
581.56 littérature a révélé que
583.32 l’autoefficacité était associée à la
585.56 réussite en trail l’autoefficacité et la
587.92 croyance d’une personne dans sa capacité
590.2 à accomplir une tâche comme courir un
592.079 Ultra Trail similairement la dimension
594.519 psychologique appelée la force mentale
596.839 mental thogness en version originale et
599.399 était elle aussi corrélée à la
601.079 performance en tril elle représente la
603.36 capacité à persévérer dans une tâche
605.44 comme une performance malgré le stress
607.839 la pression les difficultés et cetera
610.2 ensuite les odeurs soulignent presque
612.279 sans surprise l’importance de la
614.16 motivation pour réussir en tril il me
616.24 faudrait un épisode entier pour discuter
618.399 de cette motivation car si ce terme est
620.92 souvent utilisé dans tous les sens en
623.16 psychologie du sport la motivation est
625.36 un concept clairement défini pour faire
627.56 simple ici quand on parle de motivation
629.959 associée à la performance on parle de la
632.399 qualité de la motivation et non de sa
634.48 quantité un terme parfois entendu dans
636.72 différents médias et pourquoi un
638.6 individu court la motivation renvoie en
641.16 effet aux raisons qui poussent à
643.04 réaliser un comportement comme par
644.56 exemple courir un Ultra Trail il y a des
646.76 motivations protectrices qui favorisent
649.24 la performance et d’autres moins
650.88 bénéfiques par exemple un individu qui
653.399 s’engage dans une compétition d’ultra
655.12 trail parce qu’il aime intrinsèquement
657.24 cet effort ou car par exemple exemple il
659.88 considère qu’évoluer longtemps en nature
662.399 est une part de son identité le défin en
665.279 tant qu’individu aura certainement plus
667.8 de chance de terminer une épreuve de ce
669.68 type qu’une personne inscrite sur la
672.04 même épreuve parce que son entourage l’y
674.519 a poussé ou pour la médaille de finisher
677.0 petite pause si ce scientifique d vous
679.12 plaît je vous invite à aimer la vidéo la
681.32 commenter la partager et vous abonner à
683.44 ma chaîne en activant les notifications
685.56 pour ne rater aucune de mes publications
687.48 je vous invite aussi à rejoindre cour
689.48 sur ces autres réseaux comme Instagram
691.079 et le podcast disponible sur toutes les
693.24 plateformes d’écoute vous pouvez aussi
694.959 vous rendre sur le site courirmieux.fr
697.2 ou vous retrouverez l’article associé à
699.32 cet épisode et toutes les études
701.0 scientifiques citées enfin vous pouvez
703.0 soutenir courir mieux et rejoindre sa
704.92 communauté de passionnés de trail et de
706.76 course à pied sur patreon les différents
708.88 abonnements proposés vous donnent accès
710.6 à de nombreux avantages à des contenus
712.519 exclusifs et à la possibilité de poser
714.72 vos questions à mes invités le lien vers
717.079 les offres est dans la description allez
719.279 on retourne à l’épisode ensuite
721.44 l’intelligence émotionnelle fait
723.36 référence aux capacités de perception de
725.72 traitement de régulation et
727.839 d’utilisation des informations
729.519 émotionnelles d’un individu Torton etal
731.88 en 2023 résume qu’à travers différentes
734.199 études en trail les personnes avec une
736.56 haute intelligence émotionnelle étaient
738.639 meilleures à gérer les situations
740.68 difficiles ces dernières démontraient de
742.639 plus grandes capacité à s’adapter au
744.92 stress à réagir aux imprévus à faire
747.279 preuve de résilience ou encore a
749.839 réévaluer les situations négatives en
752.24 quelque chose de positif de manière
754.24 comparable des études ont souligné que
756.16 des finishurs avaient régulièrement une
758.32 stabilité émotionnelle plus prononcée
760.76 que des personnes ayant abandonné la
762.6 stabilité émotionnelle est la fréquence
764.639 de changement d’humeur ou d’émotion
766.8 pendant une course par exemple elle
768.36 peut-être élevée c’est-à-dire forte
770.519 instabilité émotionnelle ou basse
772.639 c’est-à-dire faible instabilité
774.32 émotionnelle des travaux ont montré que
776.079 les athlètes avec une meilleure
777.6 stabilité émotionnelle per performer
779.72 mieux que ceux avec une faible stabilité
781.72 émotionnelle cette grande stabilité
783.8 s’atteindrait avec l’expérience mais
785.72 aussi avec de la préparation mentale il
787.6 est intéressant de noter que ces
789.079 résultats ont été confirmés en contexte
791.399 réel par exemple l’étude de corional en
794.399 2018 confirme ses résultats à travers un
797.16 large panel de traileus et de trailers
799.48 précisément 96 finishers et 125 non
802.92 finishur de l’ultra trail Côte d’Azure
804.8 Mercantour 140 km et 10000 m à l’époque
808.0 ont répondu à avant le départ à un
810.36 questionnaire mesurant différentes
812.16 caractéristiques psychologiques leurs
814.12 premières analyses ont montré que les
815.8 finishers avaient avant la course de
818.32 plus haut niveau d’autoefficacité
820.519 d’intention de terminer la course et de
822.639 meilleures stratégies de gestion des
824.48 moments difficiles que les non
826.16 finisherss par exemple ces derniers
828.36 avaient plus de stratégies de gestion
831.24 des problèmes dites d’évitement par
833.16 exemple utilisation de substances d’aide
835.72 ou autoculpabilisation comparativement
837.8 au finisher de plus leurs analyses ont
840.04 montré que la probabilité de finir la
842.04 course était significativement plus
844.04 élevée quand l’autoefficacité était
846.36 haute l’intention de finir était haute
848.959 les stratégies de gestion des moments
851.079 difficiles par le soutien social donc
853.079 par exemple la recherche de soutien
854.44 affectif étaient hautes et les buts
856.48 étaient orientés vers la maîtrise
858.199 c’est-à-dire des comparaisons de ses
859.44 performances à soi-même et non des
861.48 comparaisons aux autres l’étude de mendz
863.759 Alonso et collaborateur en 2021 est
866.399 similaire à la précédente mais publiée
868.519 dans une revue dite prédatrice
870.199 c’est-à-dire là aussi de mauvaise
871.56 qualité et avec de mauvaises pratiques
873.759 scientifiques néanmoins ces résultats
875.8 vont eux aussi dans la même direction
877.72 après la traversera intégrale picos 76
880.839 km et 7200 m 148 finishers et 133 non
884.759 finishurs ont rempli un questionnaire
886.72 mesurant différentes dimensions
888.399 psychologiques les analyses ont montré
890.279 que comparativement au non finishurs les
892.56 finishers avaiit un plus haut niveau de
895.12 force mentale de résilience et de
897.56 passion harmonieuse la passion
899.32 harmonieuse entre guillemets est une
900.959 dimension psychologique proche de la
902.839 motivation elle reflète une tendance à
905.24 pratiquer une activité pour elle-même ou
907.44 pour soi-même en tant qu’individu ou
909.32 encore pour le plaisir qu’on retrouve
910.68 dans l’activité et non pour d’autres
912.759 facteurs comme l’entourage le
914.36 rayonnement social ou encore la
916.079 popularité de haut niveau de passion
918.44 harmonieuse serait aussi lié à plus de
921.0 comparaison à ses propres performances à
923.279 soi-même et à moins de comparaison à
925.56 autrui en 2019 Rocha et al se sont
928.959 inessé à trois états affectifs pour
931.199 vulgariser trois émotions trois
933.199 sentiments en particulier ces auteurs
935.319 parlent précisément d’état de vitalité
937.56 mais la terminologie ici importe peu ces
940.44 états mentaux sont ceux de préservation
942.68 qui renvoi à des moments où les pensées
945.36 des coureuses et des coureurs sont
947.0 orienté vers la protection de soi de son
949.16 allure ou de son énergie par exemple
951.519 avec un rythme contrôlé ou ralenti ou le
954.16 choix par exemple de ne pas poursuivre
955.839 un concurrent devant dans le but final
957.92 de ne pas s’épuiser on retrouve ensuite
960.12 les états de revitalisation ils font
962.16 référence à des moments où l’athlète a
964.399 des pensées orientées vers la
966.12 compétition l’amélioration de la
967.959 performance cela peut se traduire par
969.88 une accélération du rythme le
971.56 dépassement d’autres coureurs ou encore
973.839 une sensation d’énergie et enfin on
975.8 retrouve les états de défaite il renvoie
977.8 à des moments où les pensées sont
979.199 tournées vers les difficultés les
980.88 douleurs et est associé à de mauvaises
983.959 sensations un ralentissement
985.44 considérable ou encore des inquiétudes
987.8 en interrogeant 13 personnes dont h
990.56 participants de la Diagonale des Fous
992.319 quatre du Trail des Bourbons et un de la
994.24 masquearaigne et au total SEP personnes
996.319 ayant abandonné les auteurs ont pu
998.079 mettre en lumière des résultats
999.36 intéressants tout d’abord leurs analyses
1001.6 ont montré que comparativement au non
1003.92 finicheur les finishurs avaient vécu
1006.639 significativement plus d’État maux de
1009.16 préservation et moins d’État maux de
1011.68 défaite ils avaient cependant vécu un
1014.12 nombre similaire de moments de
1015.839 revitalisation enfin au fur et à mesure
1018.92 que la course avancéit les non
1020.6 finisheurs vivaient de moins en moins
1022.36 d’états de préservation et de plus en
1024.24 plus d’états affectif de défaite un
1026.439 dernier point intéressant que ce papier
1028.36 soulligne concerne la façon que ces
1030.439 athlètes avaient de réagir à ses états
1032.559 affectifs en analysant le discours des
1034.919 personnees les auteurs ont montré que
1036.559 les finisherss réagissaient plus
1038.799 positivement aux états affectifs de
1040.72 défaite que les non finisherss par
1042.559 exemple en cas de trouble gastrique les
1044.839 finishurs réagissaient plutôt en
1046.839 adaptant l’allure et l’alimentation et
1049.0 les non finicheurs en espérant qu’il
1050.72 passe de même en cas de douleur
1052.32 musculaire les finicheurs cherchaient
1054.36 plutôt à courir de manière plus
1056.08 économique alors que les non finicheurs
1058.52 cherchaient plutôt à maintenir leur
1060.28 allure en conclusion la question des
1062.559 facteurs qui poussent une personne à
1064.44 abandonner ou à persévérer durant un
1066.64 trail est vaste tout d’abord il est
1068.96 important de noter que les abandons
1070.679 semblent plus fréquents dans les trails
1072.44 de longue distance et dans les Ultra
1074.12 Trail que dans les trails courts ensuite
1076.64 il est important de rappeler que la
1078.2 littérature et peu fourni sur le sujet
1080.48 peu d’études se sont intéressé aux
1082.28 capacités et aux expériences mentales
1084.559 favorisant ou protégeant l’abandon en
1086.88 Ultra trade néanmoins parmi les études
1089.28 existantes des premières tendances
1091.4 émergent tout d’abord il semblerait que
1093.84 l’autoefficacité soit sa croyance dans
1095.96 ses capacités individuelles à réaliser
1098.159 un Ultra Trail soit associé à moins de
1100.72 risque d’abandon ensuite la force
1102.48 mentale soit la capacité à persévérer
1105.0 malgré les difficultés semble ell aussi
1107.32 protectrice des DNF tout comme une haute
1109.559 intention de finir de plus une
1111.36 motivation à la pratique orientée vers
1113.4 l’activité elle-même et vers soi-même
1115.52 par exemple la comparaison à soi-même à
1117.44 ses propres temps semble aussi plus
1119.76 bénéfique pour finir un ultra qu’une
1121.76 motivation orientée vers les autres vers
1123.6 le social ou vers des récompense enfin
1126.159 il est important de noter que plusieurs
1128.4 études soulignent l’importance de savoir
1130.679 réagir efficacement au moments difficile
1133.28 comparativement au non finishurs les
1135.64 finishurs semblent utiliser des
1137.6 stratégies mentales plus positive comme
1139.88 l’adaptation de son allure la
1141.44 focalisation sur le positif l’adaptation
1143.96 de l’objectif ou encore la recherche de
1146.039 soutien auprès de ses proches de même il
1148.32 est intéressant de noter le rôle que
1150.28 semble jouer la stabilité émotionnelle
1152.64 dans l’atteinre des objectifs les
1154.4 finishur semblent plus à même de lisser
1157.28 leurs émotions comme on lisserait une
1159.12 allure durant une course la question
1161.08 naturelle qui peut découler de cette
1162.64 épisode concerne comment améliorer son
1164.84 mental en trail en effet identifier les
1167.52 meilleurs outils pour prévenir les
1169.2 abandons est une première étape
1170.52 intéressante encore faut-il les utiliser
1173.28 dans le cadre de l’amélioration de nos
1175.0 capacités physiques il me semble naturel
1177.44 de penser que si nous voulons vraiment
1179.039 voir des résultats il faut faire appel à
1181.32 un professionnel comme par exemple le
1182.919 coaching sportif que courir mieux
1184.52 propose dans le cadre du mental ma
1186.6 réflexion sera exactement la même avec
1188.919 ce qu’on soulligne dans cet épisode
1190.6 certaines bases peuvent certainement
1192.32 être travailler seul cependant si le
1194.72 besoin s’en fait sentir si un capâ doit
1196.96 être dépassé je pense qu’il faut faire
1199.039 appel à un ou une professionnel
1201.36 cependant le titre de préparateur mental
1204.08 ou préparatrice mentale n’est pas
1206.0 protégé c’est-à-dire que n’importe qui
1208.28 avec n’importe quelle formation ou voire
1211.0 même pas de formation peut se prétendre
1213.32 préparateur mental ou préparatrice
1215.24 mentale aussi je vous conseille d’être
1217.72 très vigilant et vigilante dans le choix
1220.24 du ou de la professionnelle heureusement
1222.799 la société française de psychologie du
1224.76 sport la SFPS réalise à ce jour un
1227.32 travail considérable pour discerner les
1230.08 vrais professionnels des charlatans
1232.12 aussi je vous invite si vous cherchez
1233.919 quelqu’un à vous tourner vers une des
1236.12 personnes que ce réseau a identifié le
1238.6 lien vers la liste des professionnels
1240.24 identifiés est en description de cet
1242.12 épisode voilà c’est tout pour l’épisode
1244.36 d’aujourd’hui j’espère que son contenu
1246.2 vous a plu et vous aidera à identifier
1248.36 certaines caractéristiques
1249.76 psychologiques qui avant une course de
1251.679 trail ou d’ultra trail ou pendant une
1253.96 épreuve peuvent progressivement vous
1256.2 pousser à prendre la décision
1257.6 d’abandonner encore une fois la
1259.24 psychologie n’est pas le seul
1260.559 déterminant de l’abandon et ces derniers
1262.64 sont nombreux mais ici nous avons déjà
1264.96 pu éclaircir ce relatif au mental j’ai
1267.84 hâte de vous présenter la partie 2 de
1269.799 cet épisode avec mon invité experte de
1272.36 la thématique lur Fernandez chercheuse à
1275.08 l’Université exmarseille lor est aussi
1277.6 préparatrice mentale elle intervient
1279.52 avec des sportives et des sportives
1280.96 d’endurance de trail d’ultratrail ou
1283.159 encore de triathlon par exemple dans
1284.799 notre échange nous reviendrons sur ces
1286.88 causes mentales de l’abandon mais aussi
1289.24 sur comment y réagir efficacement pour
1291.279 essayer de les éviter à très bientôt
1293.279 pour un nouvel épisode et n’oubliez pas
1295.2 que selon Edward Deming sans donner à
1297.44 l’appui nous ne sommes qu’une personne
1299.2 de plus avec une opinion
.

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